Moyen-Orient

L’avocat des plaignants dénonce l’occupation d’un immeuble «qui n’est pas le sien» par la République française, pour lequel elle n’a plus payé de loyers depuis 1974.

Les Etats-Unis font pression sur Israël en multipliant les visites de hauts responsables. Trump avance ses propres scénarios pour la région et pousse Nétanyahou à trancher entre le soutien américain et les exigences de sa coalition.

A l’issue de sa visite en Israël ce jeudi 23 octobre, le bras droit de Donald Trump a condamné des projets qui risquent de mettre en péril le fragile cessez-le-feu à Gaza.

Présenté comme la source à l’origine des révélations du média d’investigation, le fonctionnaire de l’armée sera jugé en mai 2026. Il encourt une peine de sept ans d’emprisonnement et 100 000 euros d’amende.

La plus haute juridiction d’Israël a reporté ce jeudi l'examen d'une demande émise par des agences de presse étrangères pour un libre accès à l’enclave palestinienne.

Après des années d’arrêt, ce chantier gigantesque voulu par le président Recep Tayyip Erdogan a été relancé. Si les investisseurs se frottent les mains, les militants écologistes craignent pour l’écosystème de la mégapole turque.

Les autorités iraniennes ont déclaré, mercredi 22 octobre, que Madieh Esfandiari n’était plus en prison. Cependant, celle qui est accusée d’apologie du terrorisme a interdiction de quitter le territoire.

Dans une interview à « Libération », la directrice de la Commission internationale pour les personnes disparues, Kathryne Bomberger appelle une collecte de données et à la création d’un cadre légal rigoureux pour éviter les manipulations.

Considéré comme le principal recruteur français de jihadistes, le Franco-sénégalais Omar Diaby vit toujours libre en Syrie, onze mois après la chute de Bachar al-Assad.

Une semaine après leur libération, les 20 ex-otages sont devenus des visages familiers. Leurs retrouvailles bouleversent le pays, tandis que leurs récits, souvent transmis par leurs proches, révèlent peu à peu l’enfer de leur captivité.

L’armée israélienne a annoncé ce mercredi 22 octobre au matin avoir identifié les deux derniers corps d’otages en date récupérés à Gaza, comme étant ceux de Tamir Adar et Aryeh Zalmanovich.

Dans sa chronique, la journaliste de «Franc-Tireur» s’attaque au traitement médiatique de la guerre menée par Israël. Si elle souligne à juste titre des ratés journalistiques et intox, elle relaie aussi de fausses informations.

La libération de milliers de détenus dans le cadre du cessez-le-feu à Gaza a remis en lumière des accusations de mauvais traitements et tortures exercés dans les prisons israéliennes. Une famille témoigne, sous couvert d'anonymat.

L’ex-djihadiste française a été renvoyée mi-septembre devant une cour d’assises spéciale pour association de malfaiteurs terroriste criminelle. Incarcérée en France depuis 2022, elle serait depuis dans «une démarche d’introspection».

Le sous-officier, âgé de 41 ans, commandant de la milice de défense du kibboutz Nir Yitzhak, avait été tué lors de l’attaque du Hamas sur Israël le 7 octobre 2023.

L’essentiel des informations du jour sur la guerre entre le Hamas et Israël.

Cinq membres yéménites du personnel onusien et quinze étrangers sont retenus depuis dimanche mais «libres de se déplacer» dans le bâtiment où ils travaillent selon les précisions données par l’organisation internationale lundi 20 octobre.

L’organisation islamiste cherche à transformer le souvenir de la guerre avec Israël il ya un an en moteur politique à grand renfort de célébrations, discours et démonstrations de force. Une manière d’anticiper une reprise des hostilités.

L’armée israélienne a bombardé l’enclave palestinienne dimanche, faisant 45 morts, et a coupé l’entrée d’aide alimentaire. Elle affirme avoir été prise pour cible par le Hamas, dont les dirigeants nient tout incident de ce type.

Le pays, qui abrite le seul point de passage non israélien vers Gaza, veut prendre les rênes du chantier dans l’enclave. Celui-ci, estimé à au moins 70 milliards de dollars, aiguise l’appétit des géants égyptiens du secteur.

L’armée israélienne temporise après avoir mené ce dimanche des frappes aériennes à Gaza, en riposte à des attaques du Hamas, qui a démenti. La Défense civile a fait état de 33 morts tandis qu’Israël a annoncé la perte de deux soldats.

Au milieu des ruines, la situation humanitaire reste très critique et les habitants tentent de survivre, dans la peur que la guerre ne reprenne, surtout après les frappes de ce dimanche 19 octobre.

Les attaques dans le sud de l’enclave, dimanche, ont encore fragilisé le cessez-le-feu. Enlisés dans une crise humanitaire alarmante et traumatisés par le conflit, les habitants commencent à reconstruire leur foyer sans vraiment y croire.

Avec la destruction par Tsahal d’une majorité des infrastructures d’assainissement de l’eau, les Gazaouis, surtout les enfants, sont dans une situation funeste.

La libération d'otages dans le cadre de l’accord de cessez-le-feu a suspendu, le temps d’un jour, les fractures de la société israélienne. Mais les anciens captifs, instrumentalisés malgré eux deviennent un élément de stratégie politique.

Après ces deux nouveaux retours, il restera alors seize cadavres d’otages israéliens à Gaza.

Le Premier ministre israélien a également annoncé samedi soir, lors d’un entretien à la télévision, qu’il briguera un nouveau mandat lors des prochaines élections.

Arrivé vendredi 17 octobre dans l’enclave, Tom Fletcher a évoqué la tâche monumentale qui attend les organisations d’aide pour fournir aux Palestiniens abris, nourriture et services de base.

L’essentiel des informations du jour sur la guerre entre le Hamas et Israël.

La Cour pénale internationale a balayé vendredi 17 octobre le recours de l’Etat hébreu contre une décision confirmant le mandat délivré à l’encontre du Premier ministre pour sa «responsabilité pénale» dans des crimes de guerre à Gaza.

Le mouvement islamiste avait annoncé la veille la remise du corps du septuagénaire, retrouvé le jour même. Dans le cadre de l’accord de cessez-le-feu, 18 morts israéliens, qui seraient ensevelis sous les décombres, restent à restituer.

La rédaction de Libération résume les principales actualités du jour sur la situation au Proche-orient. Le point précédent est à lire ici.

Le régulateur britannique des médias a estimé ce vendredi que la BBC avait «enfreint les règles de diffusion» avec un reportage sur l’enclave dans lequel le narrateur principal, un enfant, était le fils d’un haut responsable du Hamas.

L’essentiel des informations du jour sur la situation à Gaza.

Condamné à la perpétuité au début des années 2000, Eyad n’a pas pu rentrer en Cisjordanie après sa libération par Israël, dans le cadre de l’accord de cessez-le-feu, mais a pu parler à sa sœur au téléphone.

Le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a exigé ce jeudi 16 octobre la restitution des 19 dépouilles restées dans l’enclave palestinienne.

Le ministère des affaires étrangères a confirmé ce jeudi 16 octobre que les deux Français avaient été condamnés par la justice iranienne à vingt et dix-sept ans de prison. Leurs familles estiment que leur survie est désormais en jeu.

Les termes de l’accord entre le mouvement islamiste et Israël prévoyaient que les corps de tous les otages, vivants ou morts, devaient être remis dans les 72 heures suivant la mise en application du cessez-le-feu.

Après l’adoption du plan de paix de Trump et le retour des otages lundi 13 octobre, le gouvernement israélien étudie la mesure réclamée par l’ONU et les ONG. Mais ne pourrait laisser passer que les «personnes uniquement».

Depuis l’arrêt des combats le 10 octobre, le Hamas a engagé une violente reprise en main du territoire. Son unité spéciale Sahim exécute publiquement des membres de milices rivales, accusés de collaboration avec Israël.