Les Etats-Unis ont annoncé en début de semaine «le déploiement de capacités additionnelles» au Moyen-Orient en soutien à leur allié israélien. Ces forces, aériennes et navales, sont pour le moment appelées à des actions défensives.

Si elle n’a été pas été évoquée directement par le pouvoir iranien, la perspective d’un blocage de cet axe stratégique effraie les marchés mondiaux. C’est pourtant l’Iran qui aurait le plus à y perdre.

Le président américain, qui aurait déjà validé un plan d’offensive des Etats-Unis contre le programme nucléaire iranien mais hésite à le déclencher, se plaît pour l’heure à cultiver le suspense afin de muer la crise en spectacle permanent.

Les frappes se poursuivent au sixième jour de confrontation entre l’Etat hébreu et le régime des mollahs. A Téhéran, peu après que le guide suprême iranien a exclu toute reddition, de fortes détonations se sont fait entendre.

La guerre entre l’Etat hébreu et la république islamique a bouleversé l’équilibre de la région, portant peut être le coup final au régime des mollahs et de ses alliés. La dépendance d'Israël aux Etats-Unis est ainsi mis en lumière.

Regroupés pour recevoir de la farine dans l’enclave soumise à un blocus humanitaire, des dizaines de Gazaouis ont été tués et au moins 200 blessés par des tirs de fusils d’assaut et de tanks israéliens à Khan Younès, mardi 17 juin.

Les proches du couple arrêté en mai 2022 pour «espionnage» sont «terrifiés» par les frappes israéliennes sur Téhéran, comme l’a déclaré ce mercredi 18 juin la sœur de Cécile, Noémie Kohler.

Le joueur iranien, héros national dans son pays, devait prendre un avion pour la Californie et retrouver ses coéquipiers en vue de la compétition. La guerre israélo-iranienne le prive pour le moment de compétition.

D’autoproclamé «faiseur de paix» à président sous pression, Donald Trump laisse suggérer un soutien militaire aux attaques israéliennes contre l’Iran, faisant craindre une nouvelle déstabilisation régionale.

Le Marché de la poésie met jusqu’au 22 juin les auteurs palestiniens à l’honneur alors que cette célébration avait été refusée en 2024 par crainte des remous politiques. Une occasion de découvrir un genre littéraire profondément renouvelé.

Pour la réalisatrice iranienne, participer à la Marche internationale vers l’enclave relevait du devoir. Elle s’est rendue au Caire juste avant l’attaque d’Israël contre l’Iran.

Des milliers de militants ont convergé vers Le Caire pour briser symboliquement le blocus de Gaza. Mais tiraillée entre son soutien affiché à la cause palestinienne et ses intérêts stratégiques avec Israël, l’Égypte a bloqué l’initiative.

Pour la première fois depuis le début du conflit, aucun dégât majeur n’a été communiqué dans la nuit malgré de nouveaux tirs de missiles. La guerre est suspendue à l’éventuelle implication des Etats-Unis.

Au cinquième jour de l’opération «Rising Lion», Israël poursuit ses frappes et l’Iran ses tirs de missiles. Dans ce contexte, de nombreux habitants de Téhéran ont fui en masse la capitale.

Alors qu’Israël continuait de bombarder le pays, mardi 17 juin, les habitants de la capitale iranienne se retrouvent face à un dilemme entre quitter leur foyer, suivant les avertissements de Tel-Aviv, ou rester, par détermination ou manque

Du Liban à la Syrie en passant par le Jordanie, les voisins des deux belligérants observent avec crainte les attaques israéliennes et les répliques de Téhéran. Chacun tente d’éviter d’être entraîné directement dans le conflit.

A Tel-Aviv comme à Natanz en Iran, des millions d’innocents écoutent avec effroi le bruit des bombes.

Alors que la guerre entre les deux pays semble hors de contrôle, l’auteur appelle les civils à se révolter contre leurs gouvernements.

Cinq jours après le début des bombardements israéliens en Iran et la réplique de Téhéran, le directeur des études iraniennes à l’université de Stanford estime que la position du Guide suprême à la tête du pays est menacée.

Les habitants qui se sont rassemblés autour de camions de distribution dans l’espoir de recevoir de l’aide humanitaire ont été ciblés par Tsahal ce mardi 17 juin. La veille déjà, 20 personnes avaient été tués dans le sud de l’enclave.

La république islamique affirme avoir abattu quatre avions militaires de l’Etat hébreu et capturé une pilote. Sur les réseaux sociaux circulent, pour en attester, des images générées par IA.

Lors de l’inauguration de l’événement, ce lundi 16 juin, cinq stands d’entreprises israéliennes sont restés fermés. François Bayrou a justifié cette décision par la situation «extrêmement lourde» à Gaza.

La fuite en avant militaire du Premier ministre israélien, qui bouleverse le Proche-Orient, révèle notamment le hors-jeu de Trump et l’isolement de l’Iran.

Au quatrième jour de l’opération «Rising Lion», l’Etat hébreu poursuit ses frappes en Iran. En riposte, Téhéran promet des tirs «plus dévastateurs».

Le conflit entre l’Etat hébreu et la République islamique ne semble pas s’arrêter. On en discute ce lundi à 12h30 avec Sonia Delesalle-Stolper, cheffe du service internationale et Hamdam Mostafavi, directrice adjointe de la rédaction.

Quatre jours après le lancement de son offensive, l’Etat hébreu multiplie les frappes sur le territoire iranien, dont la défense antiaérienne est affaiblie. Téhéran, loin de céder, maintient néanmoins la pression.

Un réfugié qui a exercé outre-Rhin comme chirurgien orthopédique entre 2015 et 2020 a été condamné à la perpétuité ce lundi 16 juin pour avoir torturé et tué des opposants au régime de Bachar al-Assad en Syrie.

Pour le chercheur de l’Ifas, l’Iran a désormais l’«acquis nucléaire», obtenu après plusieurs décennies de travaux, et l’offensive israélienne en cours ne peut que retarder de quelques années le programme nucléaire.

Les frappes ont continué, de part et d’autres, faisant au moins quatre morts en Israël, alors que doit s’ouvrir au Canada une réunion du G7 perturbée par l’irruption de ce nouveau conflit.

Depuis le lancement de l’opération «Rising Lion» vendredi, au moins 128 personnes sont mortes en Iran, selon des médias locaux. Du côté d’Israël, Benyamin Nétanyahou a fait état de 13 morts.

Les habitants, plongés dans la terreur par les frappes meurtrières de l’Iran, ont oublié temporairement leurs divisions à l’égard du gouvernement israélien.

Soudaine et meurtrière, l’escalade survenue au Moyen-Orient ces derniers jours illustre les stratégies personnelles du Premier ministre israélien et du Guide suprême iranien pour asseoir leur pouvoir et leur crédibilité dans leur pays.

Les deux leaders ont ­intérêt à poursuivre les hostilités pour se maintenir au pouvoir dans leur pays. Mais pourquoi prendre le risque de causer tant de morts civils ?

Depuis l’attaque israélienne d’envergure lancée par l’Etat hébreu dans la nuit de jeudi à vendredi, les deux ennemis s’échangent des frappes meurtrières, alimentant les craintes d’une guerre totale dans la région.

Dans le contexte de la guerre entre Israël et l’Iran, les avocats du reporter de «Blast» ont demandé son exfiltration par la Jordanie.

Le président américain, piégé par l’offensive massive d’Israël contre l’Iran, peine à reprendre l’initiative et tente toujours de se poser en «pacificateur», y compris en jouant au médiateur avec Vladimir Poutine.

Après le choc des premières attaques, une angoisse lancinante s’est installée en Iran, alors que de nombreux habitants fuient Téhéran, pris au piège entre deux régimes bellicistes.

Trois jours après le lancement de l’opération militaire d’envergure contre Téhéran, les Israéliens se sentent encore plus isolés, mais le soutien au gouvernement dans sa guerre contre l’Iran semble, pour l’heure, intact.

Le service de renseignement extérieur israélien a réussi à infiltrer le territoire et le pouvoir de la République islamique, pour détruire des défenses aériennes et réduire la capacité de riposte iranienne.

L’offensive israélienne «Rising Lion» lancée dans la nuit du jeudi 12 au vendredi 13 juin a visé de manière inédite le programme atomique iranien, tant ses installations que ses responsables, pulvérisant les négociations sur le nucléaire.