La fuite en avant militaire du Premier ministre israélien, qui bouleverse le Proche-Orient, révèle notamment le hors-jeu de Trump et l’isolement de l’Iran.

Au quatrième jour de l’opération «Rising Lion», l’Etat hébreu poursuit ses frappes en Iran. En riposte, Téhéran promet des tirs «plus dévastateurs».

Le conflit entre l’Etat hébreu et la République islamique ne semble pas s’arrêter. On en discute ce lundi à 12h30 avec Sonia Delesalle-Stolper, cheffe du service internationale et Hamdam Mostafavi, directrice adjointe de la rédaction.

Quatre jours après le lancement de son offensive, l’Etat hébreu multiplie les frappes sur le territoire iranien, dont la défense antiaérienne est affaiblie. Téhéran, loin de céder, maintient néanmoins la pression.

Un réfugié qui a exercé outre-Rhin comme chirurgien orthopédique entre 2015 et 2020 a été condamné à la perpétuité ce lundi 16 juin pour avoir torturé et tué des opposants au régime de Bachar al-Assad en Syrie.

Pour le chercheur de l’Ifas, l’Iran a désormais l’«acquis nucléaire», obtenu après plusieurs décennies de travaux, et l’offensive israélienne en cours ne peut que retarder de quelques années le programme nucléaire.

Les frappes ont continué, de part et d’autres, faisant au moins quatre morts en Israël, alors que doit s’ouvrir au Canada une réunion du G7 perturbée par l’irruption de ce nouveau conflit.

Depuis le lancement de l’opération «Rising Lion» vendredi, au moins 128 personnes sont mortes en Iran, selon des médias locaux. Du côté d’Israël, Benyamin Nétanyahou a fait état de 13 morts.

Les habitants, plongés dans la terreur par les frappes meurtrières de l’Iran, ont oublié temporairement leurs divisions à l’égard du gouvernement israélien.

Soudaine et meurtrière, l’escalade survenue au Moyen-Orient ces derniers jours illustre les stratégies personnelles du Premier ministre israélien et du Guide suprême iranien pour asseoir leur pouvoir et leur crédibilité dans leur pays.

Les deux leaders ont ­intérêt à poursuivre les hostilités pour se maintenir au pouvoir dans leur pays. Mais pourquoi prendre le risque de causer tant de morts civils ?

Depuis l’attaque israélienne d’envergure lancée par l’Etat hébreu dans la nuit de jeudi à vendredi, les deux ennemis s’échangent des frappes meurtrières, alimentant les craintes d’une guerre totale dans la région.

Dans le contexte de la guerre entre Israël et l’Iran, les avocats du reporter de «Blast» ont demandé son exfiltration par la Jordanie.

Le président américain, piégé par l’offensive massive d’Israël contre l’Iran, peine à reprendre l’initiative et tente toujours de se poser en «pacificateur», y compris en jouant au médiateur avec Vladimir Poutine.

Après le choc des premières attaques, une angoisse lancinante s’est installée en Iran, alors que de nombreux habitants fuient Téhéran, pris au piège entre deux régimes bellicistes.

Trois jours après le lancement de l’opération militaire d’envergure contre Téhéran, les Israéliens se sentent encore plus isolés, mais le soutien au gouvernement dans sa guerre contre l’Iran semble, pour l’heure, intact.

Le service de renseignement extérieur israélien a réussi à infiltrer le territoire et le pouvoir de la République islamique, pour détruire des défenses aériennes et réduire la capacité de riposte iranienne.

L’offensive israélienne «Rising Lion» lancée dans la nuit du jeudi 12 au vendredi 13 juin a visé de manière inédite le programme atomique iranien, tant ses installations que ses responsables, pulvérisant les négociations sur le nucléaire.

Les frappes israéliennes et iraniennes se poursuivent sans relâche ce dimanche, faisant au moins treize morts en Israël et près de 80 victimes en Iran, où le ministère de la Défense a été ciblé.

Depuis le lancement de l’opération «Rising Lion» par l’Etat hébreu vendredi à l’aube, les deux pays ennemis ont échangé salves de missiles et menaces d’escalade ce samedi. Donald Trump a dit «vouloir que cette guerre s’arrête».

Tribunes d’écrivains, lettre de cinéastes à Cannes, posts sur les réseaux sociaux… Une pluralité d’acteurs du monde des idées et de la culture n’hésite plus à prendre position contre la politique du gouvernement israélien.

Selon le dernier bilan officiel – encore provisoire –, les attaques menées par Israël auraient tué au moins 78 personnes en Iran. Parmi elles, des profils bien loin de généraux ou de scientifiques nucléaires.

L’Opération «Rising Lion» lancée par Israël vendredi contre l’Iran a considérablement affaibli le programme nucléaire de la République islamique, mais Téhéran pourrait désormais être tenté de jouer le tout pour le tout.

Les distributions, confiées depuis la fin mai à la très controversée Gaza Humanitarian Foundation, ont basculé dans le chaos. Enquête sur une catastrophe logistique et humanitaire.

Téhéran a tiré plusieurs salves de missiles sur le territoire de l’Etat hébreu vendredi soir et dans la nuit de samedi, en réponse à l’Opération israélienne «Rising Lion». Certains missiles se sont abattus dans la région de Tel-Aviv.

Après le lancement de l’opération «Rising Lion» par Israël, la veille, l’Iran a riposté et engagé un bras de fer à coups de bombardements inédits qui se sont poursuivis jusque tard dans la nuit, dans les deux pays.

L’Etat hébreu a lancé dans la nuit de jeudi à vendredi l’opération «Rising Lion» visant la République islamique et son programme nucléaire, une attaque massive et inédite qui rapproche un peu plus le Moyen-Orient d’un nouvel embrasement.

Un état-major décimé, des capacités aériennes et des sites de missiles balistiques touchés : la riposte de Téhéran, dont les moyens militaires ne sont pas à la hauteur des discours idéologiques, pourrait être laborieuse.

Dans la nuit de jeudi à vendredi, Israël a lancé une opération militaire de grande ampleur contre l’Iran. L’armée de l’air a mobilisé près de 200 avions de chasse pour frapper une centaine de cibles dans tout le pays.

Menée sans soutien opérationnel de Washington et contre l’avis de Trump, l’attaque israélienne contre l’Iran constitue un test pour le président américain. Qui pourrait à son tour hériter d’une guerre meurtrière au Moyen-Orient.

L’Etat hébreu a lancé très tôt ce vendredi 13 juin l’opération «Rising Lion». «Libé» fait le point sur ce que l’on sait de cette attaque et des répercussion qu’elle a eues.

Après les attaques israéliennes contre plusieurs sites en Iran, Hamdam Mostafavi, directrice adjointe de la rédaction et spécialiste du Moyen-Orient, faisait le point sur la situation, ce vendredi 13 juin.

Les frappes aériennes de précision menées par l’Etat hébreux ont été appuyées par des opérations secrètes de sabotage sur le sol iranien, selon deux responsables israéliens. Une attaque d’une ampleur inédite depuis la guerre Iran-Irak.

L’Etat hébreu a lancé dans la nuit de jeudi à vendredi 13 juin l’opération «Rising Lion» contre les installations nucléaires de Téhéran, une escalade risquée dans ce conflit régional qui vire à la guerre de religions multimillénaire.

Dans la capitale iranienne, les habitants sont dominés par la crainte d’une guerre totale, après les frappes israéliennes ce vendredi 13 juin.

Dès le lendemain de l’attaque terroriste, l’Iran, accusé par Nétanyahou d’armer et financer le Hamas, avait soutenu le mouvement islamiste.

Leur expulsion qui devait avoir lieu ce vendredi n’est plus possible en raison de la fermeture de l’espace aérien de l’Etat hébreu après ses frappes sur l’Iran.

Après une nuit dans les abris, les Israéliens se demandent combien de temps durera l’état d’urgence décrété par le gouvernement Nétanyahou.

Plusieurs hauts dignitaires de l’armée et physiciens nucléaires iraniens ont été ciblés par Israël.

L’essentiel des informations du jour sur la guerre entre le Hamas et Israël.