Pour le directeur du Centre d’études et de recherche sur le monde arabe et méditerranéen, la réponse positive du Hamas au plan de paix de Trump est le début d’une dynamique qui permettrait de sortir enfin de l’impasse.

En réponse à la violence de la guerre, les mères de soldats israéliens sont de plus en plus nombreuses à accuser l’armée de ne pas assez protéger leurs enfants et à réclamer un arrêt des combats dans l’enclave.

Le Hamas a accepté le principe d’un échange d’otages et d’un cessez-le-feu. Mais l’ombre d’un retrait israélien, les ambiguïtés du mouvement islamiste et les menaces qui pèsent sur la coalition Nétanyahou font planer l'incertitude.

Arrêtée mercredi 1er octobre à bord du convoi Global Sumud et détenue depuis en Israël, l’élue d’Ille-et-Vilaine proteste «contre sa détention illégale et contre les crimes commis par l’Etat d’Israël en Palestine».

La communauté internationale salue ce samedi 4 octobre à la réponse du Hamas, synonyme d’un probable cessez-le-feu.

Le mouvement islamiste se dit prêt à libérer les otages israéliens et entamer des négociations pour discuter des détails. Donald Trump avait donné au Hamas jusqu’à dimanche minuit pour parvenir à un accord sur Gaza.

De l’Asie à l’Afrique, dans la rue et en ligne, la «Gen Z» est devenue le moteur de la mobilisation contre la corruption, la vie chère et le népotisme. Des revendications qui vont jusqu’à provoquer la chute de gouvernements.

A 71 ans, après une carrière internationale aux Nations Unies et à la Cour internationale de justice, Nawaf Salam dirige le gouvernement libanais depuis huit mois. Sélim Nassib, écrivain et chroniqueur à «Libération», l’a rencontré.

Le président américain avait fixé mardi un ultimatum de «trois ou quatre jours» au mouvement terroriste pour accepter le texte.

Israël a arraisonné une quarantaine de bateaux dans la journée de jeudi et interpellé plus de 400 militants dans les eaux internationales. Un dernier irréductible poursuivait encore sa route, jusqu’à son interception ce vendredi 3 octobre.

Comme le 10 et le 18 septembre, des manifestants s’étaient réunis pour dénoncer les livraisons d’Eurolinks, accusée de fournir des composants militaires à l’armée israélienne.

Une partie du pays espérait voir naître un « nouveau Liban » au lendemain de la guerre avec Israël mais le temps forcément long des réformes heurte une société accablée, fracturée, et hantée par la crainte de voir surgir un nouveau conflit.

Le député écologiste, d’origine iranienne, a surmonté un cancer avant de revenir à l’assemblée, résolu à défendre la démocratie menacée.

Une trentaine de bateaux tentent toujours de rejoindre le territoire palestinien malgré les «plusieurs navires» interceptés mercredi soir par la marine israélienne.

Le fils de l’avocate réagit à la polémique sur l’interprétation de Gisèle Halimi par l’actrice. Il rappelle son long combat contre le colonialisme et pour la liberté d’expression.

Soutenu par Trump pour superviser une «Autorité de transition» au Moyen-Orient, l’ex-Premier ministre britannique, fort de sa longue expérience et de ses multiples contacts, n’a jamais renoncé à ses ambitions, diplomatiques ou commerciales.

La Flottille Global Sumud, composée de militants issus de 45 pays dont la militante écologiste Greta Thunberg, a été informée ce mercredi 1er octobre au soir par Tsahal qu’elle «viole un blocus naval légal».

Le parquet de Berlin a annoncé ce mercredi 1er octobre l’interpellation d’hommes suspectés de préparer des «attentats meurtriers visant des établissements israéliens ou juifs». Ils doivent être présentés à un juge d’instruction.

L’essentiel des informations du jour sur la guerre entre le Hamas et Israël.

L’ancien goal du Maccabi Tel-Aviv, petit-fils d’un couple enlevé le 7 Octobre, parcourt le monde pour faire avancer la libération des otages.

Des hémophiles irakiens ont été contaminés dans les années 80 par du sang infecté au VIH, délivré par le laboratoire français Mérieux, repris depuis par Sanofi. Aujourd'hui, les rares survivants cherchent encore à obtenir justice.

Proposée en mai par le Premier ministre, la nomination à la tête de du Shin Bet de David Zini, sioniste religieux d’extrême droite, avait pourtant été jugée «illégale» par la Cour suprême de l’Etat hébreu.

Pour Marie Durrieu, enseignante en relations internationales à Sciences-Po Paris, le plan de paix de Donald Trump impose aux Palestiniens un ultimatum sur un programme pour lequel ils n’ont pas été consultés en amont.

Le plan en 20 points du président américain, accepté par Israël, est globalement salué à l’international ce mardi matin. Mais la réponse du Hamas est toujours attendue.

Après deux navires interceptés par Israël cet été et malgré les récentes attaques de drones sur d’autres bateaux, la Freedom Flotilla Coalition a lancé un navire pour tenter de briser le blocus de l’enclave palestinienne.

Si les capitales du Moyen-Orient saluent le plan américain pour Gaza, elles ont également fait pression sur la Maison Blanche après les frappes israéliennes du 9 septembre sur le Qatar.

Ce n’est pas tant le sort des Palestiniens qui intéresse le président américain et les pays du Golfe que le climat des affaires qu’ils voient sérieusement pollué par cette tragédie.

Le projet d’accord présenté lundi par le président américain, qui doit encore être validé par le Hamas, déboucherait immédiatement sur un cessez-le-feu et sur la libération des otages. Mais certains points demeurent incertains.

Au lendemain de l’annonce faite par Donald Trump lundi 29 septembre, les médias internationaux s’interrogent sur la mise en application du plan de paix du président américain.

L’accord en 20 points présenté lundi soir par le président américain, qui suppose un retour des otages en Israël et une démilitarisation du Hamas, reçoit un accueil globalement positif de l’Europe aux pays arabes.

L’ensemble des mesures présentées lundi 29 septembre au soir à la Maison Blanche vise à proposer un cadre pour une hypothétique fin de conflit entre Israël et le Hamas, ainsi que l’avenir de l’enclave palestinienne.

La Maison Blanche a publié lundi 29 septembre un plan en 20 étapes, avant un point presse avec le Premier ministre israélien.

Donald Trump refuse l’annexion du territoire et les colons la réclament : chacun joue son rôle pour que les Palestiniens soient maintenus dans un statu quo délétère, qui sert la machine politique de Benyamin Nétanyahou.

Lundi à la Maison Blanche, aux côtés de Benyamin Nétanyahou, le président américain a présenté son plan, accepté par le Premier ministre israélien, pour mettre fin au conflit dans l’enclave. Le Hamas doit donner son accord.

Il serait pathétique d’interdire à l’actrice d’interpréter le rôle de l’avocate propalestinienne pour cause de divergence d’opinions.

Le cargo «serait en feu», relate l’agence de sécurité maritime britannique UKMTO ce lundi 29 septembre. Il avait déjà été ciblé le 23 septembre par les rebelles houthis, alliés de l’Iran et soutiens de la Palestine.

Le chef du gouvernement israélien doit composer avec la pression de l’administration américaine qui entend lui arracher un accord de paix et les lignes rouges de ses alliés politiques d’extrême droite.

Les proches des otages retenus à Gaza plaident ce lundi 19 septembre pour un cessez-le-feu au moment où le président américain reçoit Benyamin Nétanyahou.

Le mouvement terroriste blâme les frappes israéliennes et demande aux forces de Tsahal de les laisser «sauver les prisonniers».

Sous l’impulsion du retour d’entrepreneurs après la chute de Bachar al-Assad en Syrie, de grands chantiers de reconstruction d’usines et de restauration du patrimoine ont été lancés dans la capitale économique, en partie détruite.