Deux ans de guerre et, enfin, la joie. Une joie mêlée d’amertume pour les familles des otages rassemblées à Tel Aviv ; une joie teintée de prudence et de tristesse dans la bande de Gaza. Mais deux joies, tout de même, après deux ans d’horreurs, des attaques du Hamas du 7 octobre 2023 jusqu’à la guerre menée en représailles par Israël à Gaza qui semblait, jusqu’à mercredi soir, ne jamais devoir s’arrêter malgré plus de 67 000 morts.
Le cabinet de sécurité israélien devait valider la première phase du plan dit «Trump» : un cessez-le-feu contre