«Il y a un accord sur la table ; il faut le saisir.» Le chef d’état-major israélien, Eyal Zamir, estime qu’il est possible, même partiellement, d’obtenir la libération des otages toujours prisonniers à Gaza. Et il l’a fait savoir lors d’une réunion tendue du cabinet de sécurité israélien dans la nuit de dimanche 31 août à lundi 1er septembre, alors qu’au moins 40 000 réservistes rejoignaient leurs bases ce mardi pour libérer les troupes régulières, chargées de prendre la ville de Gaza.
Le sentiment exprimé par Eyal Zamir reflète la frustration et l’incompréhension partagées par de nombreu