Une signature officielle pour marquer la fin de la guerre. Et l’ouverture de discussions éminemment plus politiques et complexes pour préparer «le jour d’après» et appliquer le plan Trump dont certains points restent plus que flous. Le sommet prévu lundi 13 octobre à Charm el-Cheikh, station balnéaire égyptienne, sera aussi historique qu’ambitieux. «[Il] vise à mettre fin à la guerre dans la bande de Gaza, à renforcer les efforts pour instaurer la paix et la stabilité au Moyen-Orient, et à ouvrir une nouvelle page de sécurité et de stabilité régionale», a annoncé samedi la présidence égyptienne dans un communiqué.
Outre le président américain, Donald Trump, et son homologue égyptien, Abdel Fattah al-Sissi, qui présideront la réunion, une vingtaine de dirigeants sont attendus, dont Emmanuel Macron, le Premier ministre britannique, Keir Starmer, le chef du gouvernement espagnol, Pedro Sánchez, la présidente du Conseil italien, Giorgia Meloni, et le roi Abdallah II de Jordanie. Le secrétaire général des Nations unies, António Guterres, fera également le déplacement.
Le président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, assistera également au