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Entre Donald Trump et les pays arabes, des intérêts bien partagés

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Si les capitales du Moyen-Orient saluent le plan américain pour Gaza, elles ont également fait pression sur la Maison Blanche après les frappes israéliennes du 9 septembre sur le Qatar.

Le Premier ministre saoudien, Mohammed ben Salmane, accueille son homologue pakistanais, Shehbaz Sharif, le 17 septembre à Riyad. (SPA /AFP)
Publié le 30/09/2025 à 20h51

Certains sont «fantastiques», d’autres «incroyables» ou encore «des gars vraiment bien». Chacun des chefs d’Etats arabes ou musulmans a été chaleureusement remercié par Donald Trump, avec son vocabulaire enfantin, lundi soir lors de la conférence de presse présentant son plan de paix pour Gaza et au-delà. En reconnaissance et retour de politesse, les ministres des Affaires étrangères des pays concernés ont salué dans un communiqué commun l’annonce du président américain et «ses efforts sincères pour mettre fin à la guerre à Gaza, faisant confiance à sa capacité de trouver une voie vers la paix».

«Situation insupportable à Gaza»

L’initiative de Trump a été révélée mardi 23 septembre lors de sa rencontre à New York, en marge de l’Assemblée générale de l’ONU, avec