Une vidéo du média Konbini assure que les plus jeunes jugent gênant le fait de porter de l’eye-liner, provoquant l’ire des plus de 25 ans. «Libé» a enquêté : ringard ou pas, l’eye-liner ? La réponse n’est pas si simple.

Alors que l’usage de la Periactine dans un but esthétique est vanté sur les réseaux sociaux, l’agence du médicament a annoncé qu'il ne sera plus disponible que sur ordonnance. Une initiative qui pourrait être outrepassée en ligne.

Sur les réseaux sociaux, de jeunes militants adeptes de fitness et des salles de sport dévoilent leur plastique et leur soutien au Nouveau Front populaire pour rappeler que leur passion n’est pas l’apanage des droites radicales.

Causé notamment par la surconsommation et la surproduction, le gâchis de produits de beauté et d’hygiène reste un défi écologique pour l’industrie cosmétique.

Cette appellation louangeuse, qui désigne des hommes qui ressembleraient à des rongeurs, a envahi les réseaux sociaux. Si faire l’éloge de l’atypisme peut paraître progressiste, le glorifier est un diktat, encore et toujours.

Masques en tissu, «cushion», «layering»… La cosmétique ­sud-coréenne, pléthorique et à la pointe de la recherche, connaît un engouement croissant en France. Elle est plébiscitée par les moins de 30 ans, conquis grâce aux réseaux sociaux.

L’utilisation des outils d’intelligence artificielle, qui s’appuient sur des idéaux stéréotypés, renforce les carcans esthétiques. Les femmes sont bien sûr les premières victimes de cette uniformisation des corps.

Ils subissent des discriminations et tentent d’apporter des solutions. Dans le sixième épisode de notre série, Agnessa, danseuse professionnelle de 20 ans, raconte comment elle s’est émancipée des remarques au travail.

Ils ou elles se sont fait tatouer ou percer pour se réapproprier leur corps ou ne pas oublier un événement marquant de leur vie. Dans cet épisode, Sophie, 52 ans, s’est fait tatouer après un cancer du sein.

Simple et chaleureuse, l’ex-mannequin prend de la hauteur sur ses fêlures dans une autobiographie.

Face aux préjugés tenaces qui empêchent beaucoup de personnes noires d’être tatouées convenablement, la première convention de tatouage «à l’attention des personnes à carnation foncée et métisse» s’est déroulée les 4 et 5 mai à Paris.

Pour «Libé», des bears francophones clament leur fierté d’appartenir à cette communauté homo body-positive. Dans notre cinquième épisode, Julian, 21 ans, en reconversion professionnelle à Cannes.

Au nom du bien-être animal, le ministre de la Santé italien a annoncé fin avril interdire les cours de «puppy yoga», concept états-unien critiquable qui a essaimé en Europe.

La première convention de tatouage «à l’attention des personnes à carnation foncée et métisse» s’est déroulée les 4 et 5 mai à Paris, permettant notamment de démonter les clichés.

De nombreuses personnes noires ou métisses relatent des mauvaises expériences lors de tatouages. Alors qu’un séminaire est organisé à Paris sur ce sujet, Dimitri Andrew détaille les conséquences des préjugés sur ces épidermes foncés.

Réutilisation d’instruments jetables, mauvaise désinfection… Les autorités sanitaires américaines ont révélé les pratiques dangereuses d’un centre de médecine esthétique et alertent sur la dangerosité des établissements non agréés.

Ils ou elles se sont fait tatouer ou percer pour se réapproprier leur corps ou ne pas oublier un événement marquant de leur vie. Ils ou elles racontent à «Libé» le sens particulier de l’une de leurs modifications corporelles.

Ces dernières années, les 18-35 ans ont investi massivement les salles d’attentes des cabinets de médecine esthétique. Une «génération selfie», poussée par les réseaux, qui tente d’effacer dès leur apparition les premiers signes de l'âge.

Ils ou elles se sont fait tatouer ou percer pour se réapproprier leur corps ou ne pas oublier un événement marquant de leur vie. Ils ou elles racontent à «Libé» le sens particulier de l’une de leurs modifications corporelles.

La chanteuse québécoise fait la couverture de «Vogue» et exprime sa gratitude de voir sa beauté révélée à 55 ans. Mais pourquoi serait-ce un honneur, pour une femme de la cinquantaine, de faire la une d’un magazine de mode ?

Ils ou elles se sont fait tatouer ou percer pour se réapproprier leur corps ou ne pas oublier un événement marquant et racontent à «Libé» leur sens particulier. Dans notre cinquième épisode, Carole, 42 ans, et sa passion pour le violon.

Ils ou elles se sont fait tatouer ou percer pour se réapproprier leur corps ou ne pas oublier un événement marquant de leur vie. Aujourd'hui, Zohra, 28 ans, fait de ses tatouages des archives d’événements douloureux.

Ils ou elles se sont fait tatouer ou percer pour se réapproprier leur corps ou ne pas oublier un événement marquant de leur vie. Dans notre troisième épisode, Gwendoline, 49 ans, plasticienne, voit dans ses tatouages faciaux une protection.

Ils ou elles se sont fait tatouer ou percer pour se réapproprier leur corps ou ne pas oublier un événement marquant et racontent leur sens particulier. Dans notre deuxième épisode, Julien, 46 ans, et sa guiche.

Ils ou elles se sont fait tatouer ou percer pour se réapproprier leur corps ou ne pas oublier un événement marquant et racontent à «Libé» leur sens particulier. Dans notre premier épisode, Laura, qui s'est tatouée en mémoire à son père.

Les modifications corporelles sont une pratique millénaire, en atteste la découverte de piercings datant de 11 000 ans. ­Si elles étaient surtout des rites culturels pour nos ancêtres, elles évoluent vers une plus grande affirmation de soi.

De plus en plus de jeunes, influencés par les stars et la téléréalité, optent pour des solutions de blanchiment hors du cadre médical et parfois dangereux pour les dents.

Porteurs de cheveux roux, texturés ou locksés… Ils font l’expérience des discriminations au quotidien et tentent d’apporter des solutions.

Porteurs de cheveux roux, texturés ou locksés… Ils font l’expérience des discriminations au quotidien et tentent d’apporter des solutions. Dans notre troisième épisode, l’influenceuse Kenza Bel Kenadil, 26 ans.

Porteurs de cheveux roux, texturés ou locksés… Ils font l’expérience des discriminations capillaires au quotidien et tentent d’apporter des solutions. Dans notre deuxième épisode, Daba Diokhané, 34 ans, labellise des salons multitextures.

Le texte porté par le député Liot Olivier Serva, qui vise à mieux quantifier et sensibiliser sur les discriminations liées à la longueur, la couleur ou la texture des cheveux, est en route pour le Sénat.

Porteurs de cheveux roux, texturés ou locksés... ils font l’expérience des discriminations au quotidien et tentent d’apporter des solutions. Dans notre premier épisode, la créatrice de contenu TheGingerChloe, 29 ans.

Dans un podcast consacré à la ménopause, l’ex-mannequin explique qu’elle maîtrise son poids en ne mangeant qu’une fois par jour et en faisant énormément de sport. «Madame Figaro» et France Inter relaient sans état d’âme.

Bien qu’il n’existe pas de consensus scientifique, une étude semble démontrer le lien entre activité sportive tardive et sommeil perturbé. Sans avoir d’effets délétères sur la santé, les entraînements avant le coucher doivent être évités.

Plébiscité sur TikTok, le recours à des produits anti-âges par des ados ou préados inquiète les dermatologues et confirme que l’obsession de la jeunesse ne fait que se renforcer.

La photocopieuse, le goudron, le vernis à ongles, le cannabis… Le designer et créateur de parfums est à l’origine de la gamme d’«odeurs» inspirées du quotidien, produite par Comme des garçons avec qui il collabore depuis trente ans.

Alors que la pilosité féminine est encore souvent vue comme un marqueur de négligence, une étudiante en art britannique appelle les femmes à se libérer de l’injonction à l’épilation, au moins pendant un mois.

Vous êtes en panne d’idées sur la route des cadeaux de Noël ? Le service Modes de vie de «Libé» vient à votre rescousse et vous a concocté une sélection de présents pour gâter vos proches et terminer cette année chagrine en beauté.

La businesswoman accomplie lance un nouveau sous-vêtement, qui emboîte le pas au mouvement «Free the Nipple», au moyen d’un argumentaire écologiste opportuniste, mais avec humour voire provocation.

Se faire fouetter avec des branches de rameau dans un sauna dont la température va de 50 à 75°C avec une humidité à 60 %, avant de plonger dans un bain d’eau glacée, c’est possible dans le XVe arrondissement.