L’acteur américain réputé pour sa beauté a lancé fin septembre une marque de soins élaborée en France, dont les prix sont exorbitants.

Dans un livre à paraître mi-octobre, Clément Grandjean part à la rencontre des figures du créatif tatouage helvétique dont il dessine l’histoire très contemporaine et interroge les spécificités.

Une nouvelle technique de tatouage mise au point par des scientifiques, notamment à des fins médicales, permettrait de faire fi de la douleur. Une avancée médicale qui, appliquée au tatouage esthétique, remet en question son essence.

A partir des rebuts de la culture du fruit, une entreprise bretonne a mis au point des mèches de cheveux entièrement biosourcées. Une alternative écologique et éthique aux perruques synthétiques, animales ou humaines.

Le parfum lancé par l’héritier de la couronne britannique est le nouvel exemple d’un business model familial à succès.

Entre Selena Gomez, promotrice de l’acceptation de soi, et Kim Kardashian, icône des morphologies esthétisées et photoshopées, les célébrités s’illustrent par leur conception du corps, qui ne laisse pas leurs fans indifférents.

Dans une interview, l’influenceuse déploie un jeunisme débordant. Mais derrière son propos outrancier, la star assume surtout d’exprimer une peur universelle : celle du temps qui passe.

En Corée et au Etats-Unis, deux mouvements féminins contestent les diktats et clichés locaux en matière de beauté féminine.

Dans le sillage du retour en grâce des cheveux non lisses, pouvoir les arborer naturels devient une priorité et l’offre en produits adaptés explose, comme l’a attesté la dixième Natural Hair Academy qui s’est tenue ce week-end à Paris.

Après deux ans d’interruption, la grand-messe consacrée aux cheveux afros est de retour. Pour Didier Madin, à l’origine de l’événement, une nouvelle génération d’entrepreneuses a permis la création de cosmétiques mieux adaptés.

Régimes, compléments alimentaires ou cabines à UV pour acclimater sa peau au soleil : alors que ressurgissent les fausses bonnes solutions, les experts de l’Agence nationale d’autorité sanitaire alertent sur les risques.

Parmi les approches manuelles, technologiques et naturelles présentées au 51e Congrès Esthétiques et Spa à Paris, figurait le facialisme, très en vogue. Explications avec Catherine Bourgeois, cofondatrice et directrice d’une académie.

Pressé par la montée des préoccupations écologiques et la réglementation, le secteur des produits d’hygiène et de beauté tente un verdissement. Mais entre greenwashing, avalanche de labels et de gammes, difficile d’y voir clair.

Figure du «body positivisme», la mannequin américaine a posté sur les réseaux sociaux des photos qui font écho à la tendance à lever les tabous autour de la maternité, ventre relâché et vergetures comprises.

Aux Etats-Unis, certaines célébrités font un usage outrancier de la chirurgie esthétique jusqu’à ressembler aux filtres Snapchat. Mais ces visages lisses révèlent une insécurité liée aux injonctions faites au physique des femmes.

La marque de beauté australienne, qui cultive sa confidentialité pointue et épurée, ouvre une première boutique-cabine de soins dans la capitale. Avec un décorum un brin too much mais des produits qui ont fait leurs preuves.

D’après un article de «Vice», certains établissements scolaires nippons interdisent la queue-de-cheval pour protéger les garçons d’une excitation sexuelle. Tollé, bien compréhensible.

Malgré un changement de regard sur cet anniversaire, atteindre ou dépasser le demi-siècle demeure dans l’inconscient collectif un couperet symbolique.

Du simple tutoriel en ligne aux créations saisissantes de «make-up artists», la pratique, loin d'être futile, est vecteur d‘inclusivité, d’expression de singularités, et témoigne de notre rapport au monde.

L’acteur américain déplore une société dans laquelle les hommes «féminisés» ont troqué «leurs jeans pour la jupe». Une vision essentialiste de ce que doit être et ce à quoi doit ressembler un homme.

Afin d’éviter les stéréotypes discriminants et pratiquer des tarifs plus équitables entre les coupes masculines ou féminines, des coiffeurs appliquent des tarifs en fonction de la prestation plutôt que du genre de leur client.

La marque japonaise Comme des garçons, habituée des expérimentations olfactives, lance un parfum évoquant l’odeur du cannabis. A ne pas porter à proximité d’un commissariat.

Les couches représentent à elles seules 3% du volume annuel des ordures ménagères. En France, plusieurs sociétés expérimentent, avec des crèches, la possibilité de les transformer en compost.

Très largement plébiscitées avec la pandémie, les carrés désinfectants sont un cauchemar pour les canalisations. Et parce qu’elles sont néfastes pour l’environnement et la santé humaine, il est urgent de les bannir de notre quotidien.

La prime à l’apparence est-elle un atout dans la conquête et le maintien du pouvoir ? Dans son dernier livre, le professeur en sciences politiques explore l’enjeu de l’aspect physique en politique.

Pour répondre aux préoccupations sanitaires et environnementales des consommateurs, et une législation contraignante, les marques revoient formules et packaging. Une volonté écolo qui flirte parfois avec le greenwashing.

Depuis plusieurs mois et sans craindre le ridicule, Pékin accentue sa censure pour mettre fin à des tendances jugées vulgaires et reprendre le contrôle sur la jeunesse chinoise.

Trois amis, habitant La Haye au Pays-Bas, ont arpenté leur ville en quête d’une spécialité locale : la coupe nuque longue-côtés rasés. Ils en ont tiré une somme photographique en forme d’hommage à ce style populaire.

La manucure masculine fait de plus en plus d’adeptes, notamment chez les plus jeunes : un pied-de-nez de plus aux stéréotypes de genre et aux canons de virilité.

En Alsace, un institut proposant des bains de houblon, de malt et de levure – aux vertus antioxydantes et astringentes– devrait ouvrir ses portes début janvier.

Alors que les fêtes de fin d’année approchent, les pull moches de Noël, ces tricots aux motifs à la gloire de l’hiver, s’érigent en pilier du réveillon. Explications sur cette dernière tendance, vue comme un «phénomène de société»

A l’approche des fêtes, c’est le grand retour des tisanes, compléments alimentaires et autres régimes présentés comme «détoxifiants» après une période d’excès. N’en déplaise à leurs promoteurs : notre corps fait très bien le boulot.

En commercialisant un coffret à 750 euros pour les 100 ans du N°5, mais rempli de produits dérivés bas de gamme, la marque de luxe subit ces derniers jours un «backlash» que certains jugent à la hauteur de l’esbrouffe.

A Séoul, où les femmes sont traditionnellement priées de s’afficher soignées et apprêtées, sortir dans la rue avec des bigoudis devient une mode et un acte de résistance.

Prisée du tout-Hollywood, l’Allemande Barbara Sturm a créé une marque luxueuse de «cosméceutiques», produits qui allient cosmétique et pharmaceutique. Entretien, alors qu’elle vient d’ouvrir un spa à Paris.

De nombreuses marques prétendent vendre des paillettes écolo-compatibles, mais la réalité est décevante : leur empreinte environnementale ne diffère pas des petits brillants en plastique.

Avec plus de 7 millions de pratiquants réguliers en France, la pratique est un phénomène de société. Spécialiste de l’hindouisme et directrice d’une «encyclopédie» consacrée à la discipline, Ysé Tardan-Masquelier revient sur son succès.

La star des années 80-90 a révélé ce jeudi matin sur Instagram avoir été «brutalement défigurée» par une procédure esthétique. Elle annonce porter plainte.

Parmi les nouvelles fragrances de la rentrée, Paco Rabanne lance Phantom, fabriqué grâce à des algorithmes et de formules scientifiques. Un nouveau modèle de production qui ne remet pourtant pas en question l’art du «nez».

Retour sur ces fétiches qui accompagnent notre été, de l’enceinte portative au boules de pétanque, des claquettes au panier en raphia, en passant aujourd’hui par le monoï, dont le succès repose en partie sur un malentendu.