La culture nippone inonde désormais les bacs des salons de coiffure français. Et pas uniquement les parisiens, car les soins capillaires de la marque Tokio Inkarami sont même disponibles à Châteauroux, ville où j’ai eu la chance de grandir mais qui n’est pas toujours à la pointe de la mode. Face à mon chef qui valide le sujet à condition que je teste le produit – le best-seller, le soin Tokio de deux heures – mes collègues n’arrivent pas à cacher leur jalousie. Chacun ses sujets : le mien sera de passer la même matinée qu’Iris Mittenaere ou Paola Locatelli qui promeuvent sur leurs réseaux ce soin onéreux – comptez au moins 120 euros – doté de six kératines différentes, de protéines mais surtout de fullerène, une molécule dont la découverte a été saluée par un prix Nobel. Néanmoins, l’UFC-Que choisir a relevé, dans une étude de 2020, la présence de méthylisothiazolinone, une substance allergène interdite dans les produit
Beauté
J’ai testé pour vous : le soin Tokio Inkarami qui envahit les salons de coiffure
Article réservé aux abonnés
Le soin Tokio Inkarami est composé de six kératines, de protéines et de fullerène. (Nitat Termmee/Getty Images)
par Juliette Garnier
publié le 9 mars 2025 à 16h00
Dans la même rubrique