Si on n’a pas encore lu le livre, on n’a pas échappé à l’avalanche promotionnelle qui accompagne la sortie, ce 24 octobre, à 100 000 exemplaires et dans 26 pays, de l’autobiographie de Britney Spears The Woman in Me (La Femme en moi, aux éditions JC Lattès en France). La campagne consiste notamment en la publication de nombreux extraits, dont celui, juteux à souhait, consacré à l’avortement auquel la pop star a eu recours à 19 ans, alors qu’elle était en couple avec Justin Timberlake. La révélation secoue l’Amérique chrétienne qui considère l’interruption volontaire de grossesse comme un péché, qui a longtemps voulu croire que l’ex-princesse Disney conserverait sa virginité jusqu’au sempiternel mariage et qui découvre aussi une autre version de leur rupture que celle de Timberlake.
Grand huit
Mais un autre passage retient notre attention. Celui où Britney Spears, épaulée par le journaliste Sam Lansky, écrit : «Je sais que beaucoup de gens ne comprennent pas pourquoi j’aime me prendre en photo nue ou dans de nouvelles robes. Mais je pense que s’ils avaient été photographiés par d’autres personnes des milliers de fois, poussés à poser pour l’approbation des autres, ils comprendraient que j’éprouve beaucoup de joie à poser de la façon dont je me sens sexy et à prendre ma propre ph