Un beau livre sur les hortensias et une cocotte Le Creuset : voilà ce que le mec de Guillaume découvrira emballé sous le sapin – c’était à sa demande – cette année. Petite particularité : les deux objets ne sont pas neufs, tout droit sortis d’usine ou de l’imprimerie, mais de seconde main, dégotés sur le Bon Coin. «Ça donne un charme à la cocotte. Mais on s’est surtout fixé un budget assez serré à ne pas dépasser, soit une vingtaine d’euros max chacun, précise le professeur des écoles de 30 ans. L’occasion permet de rentrer dans nos frais. On préfère garder notre argent pour des sorties, aller au théâtre ou à des concerts.»
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Pour sa sœur et son mari, idem. L’Albertivillarien a commandé deux livres d’occasion sur la plateforme allemande de recommerce Momox. «C’est aussi pour être en accord avec mes valeurs, poursuit le trentenaire décroissant. Au quotidien, j’achète désormais d’occasion. Donc ça ne me coûte pas psychologiquement. La plupart des choses que j’ai envie d’offrir existent déjà, elles attendent juste de trouver un autre propriétaire. Ce qui ne veut pas dire que je n’achète rien