Les poudres, gélules et boissons pour amateurs et professionnels en recherche de muscles se multiplient dans les supermarchés, pharmacies et magasins de sport. Mais leur surconsommation n’est pas sans risque pour la santé.

Aux origines floues, cette néotradition de fin d’année s’est imposée au bureau ou dans les cercles amicaux pour accompagner les goûters et repas de Noël. Pour le meilleur et pour le pire.

Au moment de l’achat, des pistes existent pour savoir si des purées de tomates contiennent des fruits récoltés par des Ouïghours. Sur 7 des 10 tubes trouvés dans 6 supermarchés, les étiquettes laissent planer une doute.

Lors d’une conférence qu’il avait lui-même organisée, Justin Sun, le nouveau propriétaire de l’œuvre d’art à 6 millions d’euros, «Comedian», a dégusté le fruit dont on a appris qu’il avait été acheté sur un marché new-yorkais.

Jeudi, le géant du VTC, a mis en place «Uber by Women» : des courses assurées par les chauffeuses d’Uber, réservées aux clientes qui préféreront rentrer chez elles avec une femme plutôt qu’un homme. Le risque : un temps d’attente élevé.

Dans un contexte de perte de pouvoir d’achat, un sondage acte la volonté des Français de se détourner des produits non essentiels, traditionnellement prisés, au profit d’achats du quotidien.

En Savoie et en Isère, «Libé» a rencontré des consommateurs de plus en plus attentifs à leurs dépenses alimentaires, et qui ne comptent pas forcément profiter des réductions du dernier vendredi de novembre.

Dans un hypermarché discount du Maine-et-Loire, à l’approche la journée durant laquelle tout est bradé ou presque, plusieurs clients racontent leur manière de consommer ce jour-là, et son importance pour leurs budgets, petits ou pas.

Dans une étude révélée ce lundi 25 novembre, la Commission nationale des titres-restaurant révèle les habitudes de dépenses des bénéficiaires. Le secteur de la restauration reste largement en tête mais des pistes d’amélioration existent.

Lors de cette période de promotion, qui s’étend désormais sur une bonne partie du mois de novembre, les sites d’e-commerce et les grandes enseignes multiplient les propositions d’achats inutiles.

L’économiste Philippe Moati plaide pour le développement d’une économie de l’usage qui pourrait, à terme, être bénéfique pour les entreprises, tout en répondant aux enjeux écologiques.

Jusqu’en 2026, au moins, les propriétaires d’une carte restaurant pourront continuer de l'utiliser pour faire leurs emplettes de la semaine. «Libé» est allé à la rencontre des usagers et des gérants des commerces de bouche.

Principalement associé à l’immobilier ou aux voitures, le leasing se développe pour les équipements ménagers. Le secteur bourgeonne, même si la rentabilité reste encore un défi pour ses acteurs.

Le maintien de la dérogation qui permet d’utiliser ce moyen de paiement pour acheter des produits alimentaires dans la grande distribution confirme une réalité : le soutien au pouvoir d’achat reste prioritaire.

L’Assemblée nationale s’est unanimement prononcée mercredi en faveur du maintien de la dérogation permettant d’utiliser les titres-restaurant dans les supermarchés pour acheter les produits alimentaires. Le Sénat doit encore se prononcer.

Un vêtement vite caché dans la penderie, un emballage jeté en douce… En couple, les cachotteries financières sont monnaie courante : près de 9 personnes sur 10 auraient déjà menti à leur partenaire sur un achat ou son prix.

Si les consommateurs allemands, italiens, étasuniens et chinois ont une image positive des produits manufacturés dans l’Hexagone, qui ont notamment rayonné grâce aux Jeux olympiques, ils se heurtent à un contexte économique difficile.

Carrefour a annoncé ce mardi 12 novembre vouloir rendre systématique la mention de la valeur nutritionnelle des produits commercialisés sur son site web. Si les grandes marques refusent, l’enseigne de supermarché notifiera leur refus.

Dans sa dernière publicité décalée qui reprend les codes de la culture internet, Ikea se fait le chantre du sommeil menacé par l’économie de l’attention qui veut grand remplacer le dodo.

Une étude menée aux Etats-Unis a montré que des spatules ou des éplucheurs en plastique recyclé contenaient involontairement des retardateurs de flamme. En cause, un processus de recyclage défaillant.

Hésitation entre refuser la société sirupeuse qui caramélise notre inventivité et s’inquiéter du durcissement poivré des comportements virulents.

La commission européenne a ouvert, ce jeudi 31 octobre, une enquête contre le site de fast-fashion chinois, afin de s’assurer que les articles vendus respectent les normes et d’examiner les risques d’addiction du service en ligne.

Les sachets de nicotine, mais aussi les gommes et les billes, vont être prochainement interdits, a annoncé mardi 29 octobre la ministre de la Santé Geneviève Darrieussecq, dans un entretien au «Parisien».

Les célèbres biscuits ne sont plus disponibles dans les magasins français depuis plusieurs mois, sans, pour le moment, de perspectives claires de retour.

Ces comptes d’histoires drôles issues de la vie ordinaire sont devenus de véritables espaces communautaires et attirent des marques en tous genres.

Une poignée de marques proposent depuis peu des produits d’hygiène ou cosmétiques rechargeables, à dissoudre chez soi dans l’eau. A la clé, pour le consommateur : des économies sur la durée et moins de plastique dans la nature.

A l’occasion de la Journée nationale de lutte contre le gaspillage alimentaire ce mercredi 16 octobre, le site de vente de produits bio et écoresponsables Greenweez publie une étude sur le rapport des Français au gâchis.

A la carte plutôt qu’à volonté, valorisation des déchets verts, diagnostic par IA… Alors que 115 grammes de nourriture par couvert sont jetés dans les hôtels, des établissements mettent en place des initiatives pour éviter le gâchis.

Depuis la fin de la crise sanitaire, les appareils dédiés à la cuisson des margheritas, reines et autres quatre-saisons s’invitent dans les foyers français. Une façon de poursuivre une love-story culinaire à la maison.

Dès ce mercredi 2 octobre, escapades en TGV, Intercités et Ouigo en France et en Europe pourront être réservées pour la période du 15 décembre 2024 au 8 janvier 2025 . Pour les plus organisés jusqu’à 38% d’économie peuvent être réalisé.

Dans une étude publiée ce mardi 1er octobre, à la veille de l’ouverture à la vente des billets de train pour Noël, l’association UFC-Que Choisir révèle que les prix peuvent différer fortement en fonction des plateformes d’achat.

Un rapport d’Addictions France publié jeudi 26 septembre montre l'ampleur des messages valorisant l'alcool, notamment sur TikTok et Instagram.

Les jeunes de la génération alpha, nés à partir de 2010, sont plus engagés que les autres, notamment sur l’écologie ou la santé mentale. Pour Elodie Gentina, il faut les aider à préserver des espaces de socialisation hors ligne.

La note attribuée aux aliments répond à une logique qui varie en fonction du type de produits et du mode de consommation auquel ils sont destinés, explique une scientifique ayant examiné l’impact sur la santé des produits moins bien notés.

Plébiscitée par les consommateurs et les scientifiques, la notation de A à E des aliments s’est installée dans les habitudes. De nombreux industriels et lobbys la rejettent, et le nouveau ministre de l’Economie est lui-même réfractaire.

Proposé par des chercheurs en 2014, le Nutriscore se fonde sur de solides études pour mieux informer le grand public sur la qualité du contenu de son chariot.

Leader du secteur, l'équipementier a annoncé jeudi un changement à sa tête alors que ses résultats financiers s’érodent et que la firme envisage de supprimer plus de 1 600 emplois.

«Libé» fait le point sur le gaspillage alimentaire avec le sociologue de l’alimentation Eric Birlouez, après la publication d’une étude ce lundi 23 septembre selon laquelle les Français jettent l’équivalent de 25 kilos de nourriture par an.

En procédure de faillite, l’entreprise américaine d’ustensiles en plastique a bâti sa renommée dans les années 60-70 avec la vente à domicile, aujourd’hui ringardisée.

Certaines enseignes décident de miser sur des vidéos humoristiques qui reprennent les codes des réseaux sociaux pour faire leur promotion, avec à la clé une notoriété et des ventes en hausse.