A l’approche de l’occasion parfaite, pour petits et grands, de se goinfrer de chocolat, la valeur des œufs et autres trésors de Pâques explose, révélait lundi 7 avril une étude menée par UFC-Que Choisir. Sur une année, le prix moyen des confiseries chocolatées dans les grandes surfaces a crû en moyenne de 14 %, quand les prix à la consommation en France ont augmenté, de mars 2024 à mars 2025, de seulement 0,8 %.
Et certains produits sont plus victimes de cette hausse des prix que d’autres. Les figurines de lapin ou encore de poule en chocolat, tant aimées par les enfants, occupent plus de 60 % du top des produits avec la plus forte inflation. Le petit lapin Lindt doré et orné de sa clochette coûte désormais 4,38 euros, contre 3,82 euros au mois de mars 2024. Pour le journaliste en charge de l’enquête, Noé Bauduin, «lors d’un achat plaisir, les consommateurs regardent moins le coût».
«La matière première occupe une part plus importante du prix»
Même si, «tous les prix des produits chocolatés sont en hausse», insiste-t-il. Y compris les tablettes de chocolat, à l’instar de celles de la marque Milka qui augmente de 19 %. La conséquence tardive d’une «