Redécouverts après être tombés dans l’oubli, ces artisans et designers connaissent un regain d’intérêt et voient leur côte s’envoler. Aujourd’hui, une créatrice d’objets décoratifs uniques et poétiques qui s’arrachent à des prix records.

Redécouverts après être tombés dans l’oubli, ou méconnus du grand public, ces artisans et designers connaissent un regain d’intérêt. Aujourd’hui, un créateur de luminaires puissamment novateurs dans les années 50.

Redécouverts après être tombés dans l’oubli, ou méconnus du grand public, ces artisans connaissent un regain d’intérêt. Aujourd’hui, un couple de céramistes «autodidacte» et prolifique des années 50 aux années 80.

Méconnus, dissimulés ou inaccessibles, ils méritent néanmoins le coup d’œil. Aujourd’hui, un jardin provençal du paysagiste Jean Mus adapté au manque d’eau et au climat qui change.

Méconnus, dissimulés ou inaccessibles, ils méritent néanmoins le coup d’œil. Aujourd’hui, un jardin japonais, à deux pas de la Bastille (XIe arrondissement) au centre de l’ancienne propriété du couturier japonais Kenzo Takada.

Méconnus, dissimulés ou inaccessibles, ils méritent néanmoins le coup d’œil. Aujourd’hui, un réseau de jardins disséminés dans la préfecture du Lot pour en raconter l’histoire médiévale.

Méconnus, dissimulés ou inaccessibles, ils méritent néanmoins le coup d’œil. Aujourd’hui, un lieu qui vit (quasiment) sans intervention humaine, dans le XXe arrondissement de la capitale.

Un parc universitaire à plus de 2 000 mètres d’altitude dans les Hautes-Alpes.

A Varengeville-sur-Mer, une œuvre paysagère singulière de Pascal Cribier dans un village verdoyant du pays de Caux.

La créatrice de cosmétiques, anciennement actrice, a décidé de combattre la solitude des pauvres gens grâce à une collab entre sa marque de produits de beauté et Airbnb. Quelle mansuétude !

Le créateur français rejoint les quelques designers, à l’instar de Starck, à avoir conçu cet objet emblématique de l’olympisme moderne. Sa proposition souhaite notamment refléter la promesse d’égalité voulue pour les Jeux de Paris 2024.

Symbole du mode de vie pavillonnaire, le tout gazon, gourmand en eau pour rester vert, n’est plus adapté à la sobriété qu’exige le changement du climat. Les alternatives paysagères sont pourtant légion pour renouveler l’art du jardinage.

Pour sa 32e édition, le Festival international des jardins expose jusqu’en novembre une vingtaine de propositions paysagères en concours qui anticipent les crises environnementales. Une façon d’imaginer le «jardin du futur».

Fermé pour travaux jusqu’en 2025, le Musée des arts décoratifs et du design propose aux Bordelais d’emprunter un des sièges de ses collections. Une façon de faire vivre des pièces du musée tout en démocratisant l'accès au design.

Chaque mercredi, «Libé» donne la parole à celles et ceux qui vivent pour et par la nuit. Aujourd’hui, le graphiste de diverses soirées kinky (Monarch ; Master squat).

Invité du festival Design Parade, le designer breton expose jusqu’en novembre ses travaux exploratoires de cette technique ancestrale de la terre, au travers de vases, sculptures ou bas-reliefs.

Président du jury de la 17e édition du festival Design Parade dans le Var, le créateur qui navigue entre Lisbonne et la France prône un design au ralenti, reconnecté à un territoire et des savoir-faire artisanaux.

Réunion inédite d’œuvres tirées des collections de quatre institutions publiques, l’exposition à l’Hôtel des Arts de Toulon fait état des explorations écolos des designers depuis les années 70.

Jusqu’en janvier à la Cité du design de Saint-Etienne, le Musée d’art moderne et contemporain explore l’évolution de l’espace domestique depuis un siècle. Une façon de questionner l’apport du design à l’aménagement des foyers.

Organisateurs, DJ, gérants d’établissements, noctambules, observateurs… Chaque mercredi, «Libé» donne la parole à celles et ceux qui vivent pour et par la nuit. Aujourd’hui, un scénographe-architecte de décors pour diverses fêtes gays.

De la génération d’images à la conception des projets, voire à leur réalisation, le recours à l’intelligence artificielle pourrait se répandre dans les agences d’architecture. Mais ces outils sont pour l’heure loin de bouleverser le métier.

Après cinq ans d’absence, la manifestation de promotion du design et de l’artisanat d’art qui s’est ouverte ce mercredi a réduit la voilure. Voici la sélection des créations à ne pas louper selon «Libé».

Avec plus d’un million d’abonnés, Eric Landon est l’un des artisans les plus suivis sur Instagram. Rencontre au Studio primitif de Bordeaux où il a animé un stage qui a réuni douze passionnées.

L’architecte d’intérieur française imprime depuis vingt ans son style chatoyant dans les restaurants et bars chics du monde entier.

La rétrospective dédiée au tsar des architectes déçoit par son absence de remise en perspective critique de l’œuvre de ce chantre d’édifices gargantuesques, en décalage avec l’urgence environnementale. Quitte à flirter avec le greenwashing.

Pour se distinguer de la concurrence et répondre à la pression des réseaux sociaux, de nombreux restaurateurs font appel à des architectes d’intérieur. Quitte, paradoxalement, à uniformiser leurs établissements.

Jusqu’en 2024, la Cité internationale de la tapisserie transpose l’imaginaire du cofondateur du studio Ghibli dans cinq créations tissées. Un projet qui vise à mieux faire connaître un savoir-faire ancestral auprès du grand public.

Aperçu de l’édition 2023 de l’exposition, ce week-end porte de Versailles, et qui atteste la prise de conscience écologique, tant chez les concepteurs d’objets du quotidien que chez les inventeurs du concours Lépine.

Voyant ses actions dégringoler en Bourse, le fabricant américain du célèbre contenant en plastique est au bord du dépôt de bilan. La faute à un modèle commercial et une image dépassés.

Ce week-end à Paris, le Salon de l’art et du design qui réunit la crème de la crème des galeristes spécialisés dans le design, fête ses 25 ans. Son président, Patrick Perrin, revient sur les évolutions du marché.

La Martiniquaise confectionne des pièces extravagantes à partir de fibres capillaires synthétiques ou naturelles, avec la volonté de valoriser le cheveu texturé.

La céramiste française s’inspire des canalisations et des cheminées sur les toits de Paris pour créer des vases et des paniers en colombins vendus aussi bien à Copenhague qu’à Hongkong.

Un nouvel ouvrage illustré, aux éditions Phaidon, met en avant les figures de ce mouvement architectural international emblématique de l’après-guerre, de Ricardo Bofill à Oscar Niemeyer, en passant plus récemment par Zaha Hadid.

Moins primées et moins récompensées que leurs collègues masculins, les femmes représentent pourtant aujourd’hui un tiers de la profession. Face à ce manque de visibilité, «Libération» met huit profils à l’honneur.

Couple andalo-alsacien, les deux architectes se rencontrent lorsqu’ils deviennent colocataires. Amoureux de la nature, ils ont fondé leur agence au milieu des Vosges et mènent ensemble des projets de construction en chêne ou en mélèze.

Née avec la conquête spatiale, la discipline, qui consiste à imaginer et concevoir des systèmes adaptés entre autres à l’apesanteur, pourrait connaître de nouveaux jours heureux avec le développement des vols touristiques dans l’espace.

Tous les week-ends, on file en cuisine avec des recettes pour les grands comme les petits jours. Ce dimanche, on se régale de verdure en hiver gratinée avec du fromage.

Si elle permet aux photographes de mettre du beurre dans les épinards, la récente mode de décoration intérieure qui consiste à afficher dans son salon un tirage au format macro de son œil fait saigner des yeux.

Technique de tissage remise au goût du jour pendant le confinement, le touffetage est la dernière tendance de déco DIY à la mode, qui intéresse aussi bien les jeunes artisans que les enseignes de loisirs créatifs.

En s’associant début septembre au principal fabricant de caissons frigorifiques, l’entreprise lyonnaise Regoods entend offrir une solution à leur impossible recyclage.