A quoi carbure Elon Musk ? Ce n’est pas la première fois qu’on se pose la question, face à la trajectoire et à la personnalité du businessman américain d’origine sud-africaine, qui semble toujours au bord d’un lancement (de fusée, de voiture électrique, de polémique…), notamment via Twitter où il bombarde ses quelque 65 millions d’abonnés de rafales qui mêlent triomphalisme de conquérant de l’espace et de la tech, provoc d’ado attardé (ce père de sept enfants a tout de même 50 ans), blagounettes et bouffées de sentimentalisme.
Ce jeudi, par exemple, celui qui l’a mauvaise contre Joe Biden, et son administration pro-taxation des super-riches, a tweeté un bien fielleux «Fixons donc un âge limite au-delà duquel on ne pourrait briguer une fonction politique, peut-être juste au-dessous de 70…» qui a tout du scud anti-Joe B., 79 ans. On a envie de répondre, et si on fixait aussi une limite au n’importe quoi ? Car le Rastignac Musk a beau avoir les atours du pionnier (de la voiture électrique, de la nouvelle conquête spatiale), certain