Né en 1915 en réaction à l’interdiction de l’absinthe, le pastis, longtemps immuable tant au niveau du goût que de sa fabrication, se réinvente à la faveur d’une nouvelle scène artisanale.

L’architecte d’intérieur française imprime depuis vingt ans son style chatoyant dans les restaurants et bars chics du monde entier.

Pour se distinguer de la concurrence et répondre à la pression des réseaux sociaux, de nombreux restaurateurs font appel à des architectes d’intérieur. Quitte, paradoxalement, à uniformiser leurs établissements.

Chaque mercredi, «Libé» donne la parole à celles et ceux qui vivent pour et par la nuit. Aujourd’hui, la mixologue et fondatrice du bar à cocktail Combat dans le quartier de Belleville, à Paris.

Chaque mardi, «Libération» vous propose un menu complet à moins de 5 euros, qui ne nécessite ni ustensiles sophistiqués ni condiments alambiqués.

Le concept télévisuel, venu de Grande-Bretagne, propose à des grands noms de la gastronomie française de reproduire à l’identique des hamburgers, chips et barres chocolatées. On s’en délecte d’avance.

Cet ancien militaire de la DGSE a quitté l’armée pour le calme et la douceur du Bugey où il fait des vins naturels dans une démarche permacole radicale.

Depuis janvier 2023, la ville de Romainville, en Seine-Saint-Denis, transforme ses cantines scolaires en restaurants 100% bio, local et de saison. On a goûté celle de l’école Maryse-Bastié, qui fêtait son inauguration le 26 mai.

Au bout de la vallée maralpine, là où la France et l’Italie se rencontrent, la gastronomie monochrome, héritée de la tradition pastorale, est toujours bien vivante.

Ce week-end, direction la haute vallée du Drac, dans les Hautes-Alpes, pour concocter une recette traditionnelle délicieuse.

Chaque week-end, retrouvez une sélection de recommandations de produits, vins, recettes… issue de notre newsletter gastronomique.

Grâce à ce lundi de Pentecôte, on gagne un jour de rab ce week-end. L’occasion de sortir sa plus belle nappe Vichy et d’aller pique-niquer au soleil.

Chaque mardi, «Libération» vous propose un menu complet à moins de 5 euros, qui ne nécessite ni ustensiles sophistiqués ni condiments alambiqués.

Une start-up française,propose à une riche clientèle de dîner dans l’espace pour la coquette somme de 120 000 euros le ticket. Entre-soi à tous les étages, 3, 2, 1, décollage : on y va.

Tous les week-ends, on file en cuisine avec des recettes pour les grands comme les petits jours. Ce dimanche, on concocte une recette de dessert portugais, un flan au fruit de la passion.

Fromages à la bière, assemblages, affinages longs de fromages à pâte molle... Libérée de tout dogmatisme, la scène fromagère belge déploie sa spontanéité à travers des créations parfois audacieuses.

Retrouvez chaque samedi des conseils resto, des astuces de cuisine ou des recommandations de bons produits.

Pour occuper ce long week-end de l’Ascension, «Libé» vous a concocté quelques recommandations axées bonne bouffe et bon vin.

Migration, colonisation, identité nationale… l’histoire de la pomme de terre épouse celle de l’humanité. La photographe colombienne Ana Nuñez Rodriguez en a fait le fil rouge de ses récits visuels sous forme de diptyques.

Des gourmandises japonaises ou américaines, un classique des goûters d’enfance… Pour occuper les mioches, il suffit de les envoyer en cuisine.

Depuis l’essor du télétravail, de plus en plus d’établissements de restauration proscrivent l’utilisation des ordinateurs portables. D’abord on s’insurge, puis on comprend les motivations des propriétaires.

Chaque mardi, «Libération» vous propose un menu étudiant, complet, à petit prix et facile à réaliser : entrée, plat et dessert, pour 3 à 5 euros par tête.

Grande plume du vin et de la vie, l’autrice new-yorkaise vient de sortir son dernier livre de mémoires en France, «Pour tomber amoureux, buvez ceci».

Astuces et recettes de cuisine, plats étonnants, bons produits... Chaque week-end, retrouvez un extrait de la newsletter culinaire de « Libé ».

Jusqu’au dimanche 14 mai, le Grand Palais accueille le festival gastronomique où se déguste des plats de chefs et d’artisans à tarifs réduits.

A Busnes, dans le Pas-de-Calais, le chef étoilé a créé un monde agricole et permacole qui impose son rythme et inspire les menus de ses restaurants.

Tous les week-ends, on file en cuisine avec des recettes pour les grands comme les petits jours. Aujourd’hui, on dirait le Sud aux fourneaux et pas trop loin de l’été.

Chaque jeudi, passage en cuisine et réveil des papilles. Aujourd’hui, une terrine de cochon au poivre du Sichuan après s’être passé la bague au doigt.

Si les cartes à flasher avec son téléphone améliorent la rentabilité, elles déshumanisent le plaisir des convives. Sans oublier les données personnelles qu’on laisse sur la nappe avec le pourboire.

Chaque mardi, «Libération» vous propose un menu étudiant, complet, à petit prix et facile à réaliser : entrée, plat et dessert, pour 3 à 5 euros par tête.

Vos enfants trouvent que le chou-fleur sent le vieux prout ? Ils ont tort. La preuve.

Bonnes adresses, anecdotes culinaires, astuces en cuisine… Chaque semaine, «Libé» vous embarque en vadrouille gastronomique.

La friandise lorraine mythique fait appel à un savoir-faire sucrier vieux de plusieurs siècles. Du côté de Gérardmer, une fabrique parie sur la production ultralocale et la vente directe pour perpétuer la tradition.

Chaque jeudi, passage en cuisine et réveil des papilles. Aujourd’hui, une histoire de condé qui mijote l’un des plats préférés d’un commandant de police plus proche de la retraite que de l’augmentation.

Apposer sur de la viande, du poisson ou du fromage, un dispositif dissuasif : c’est la dernière trouvaille pour lutter contre les vols à l’étalage. Un cadenassage honteux en pleine crise sociale marquée par une inflation record.

Chaque mardi, «Libération» vous propose un menu étudiant, complet, à petit prix et facile à réaliser : entrée, plat et dessert, pour 3 à 5 euros par tête.

Par opportunisme foncier, groupes industriels, ateliers d’artistes ou commerces de bouche s’installent à Aubervilliers, ville bien plus pauvre que la moyenne francilienne. Parfois avec intelligence, parfois avec moins d’élégance.

A la Montagne Saint-Emilion, Coralie de Boüard propose un vin sans alcool pour «s’adapter au marché». L’idée lui est venue après un dîner avec des Qataris. Les vins du Bordelais sont-ils si mal en point ?

A Râches, Michael Collins possède une ferme artisanale où il élève chaque année près de 400 000 bêtes rampantes. Cibles de nombreuses idées reçues, ces animaux, destinés aux tables festives, requiert un savoir-faire exceptionnel.

Bonnes adresses, anecdotes culinaires, astuces en cuisine… Chaque semaine, «Libé» vous embarque en vadrouille gastronomique..