Toute la semaine, «Libé» vous partage ses bons plans dans les quartiers les plus touristiques de la capitale. Café-croissant, verre de blanc et madeleines : cinquième étape aux abords du musée d’art le plus visité au monde.

Toute la semaine, «Libé» vous partage ses bons plans dans les quartiers les plus touristiques de la capitale. De l’épicerie américaine au resto routier, en passant par la meilleure tarte aux pommes : quatrième étape au Trocadéro.

Toute la semaine, «Libé» vous partage ses bons plans dans les quartiers les plus touristiques de la capitale. Pâtisseries portugaises, jambon fromage ou resto guinéen, rade et bistrot franchouillard : troisième étape autour de Montmartre.

Toute la semaine, «Libé» vous partage ses bons plans dans les quartiers les plus touristiques de la capitale. Petit-déj, negroni en terrasse et nouilles japonaises pour cette deuxième étape à l’ombre des Champs.

Connu dans le milieu du vin, le blogueur vient d’être condamné par le tribunal de Béziers pour les publications de photographies et de textes intimes contre la volonté d’une ancienne compagne.

Toute la semaine, «Libé» vous partage ses bons plans dans les quartiers les plus touristiques de la capitale. Viennoiseries scandinaves, cocktail relevé et sorbets artisanaux : première étape dans le Marais.

A l’image de Caviar de France, dans le bassin d’Arcachon, les producteurs de ce produit de luxe tentent de s’organiser pour résister à la Chine. Récemment protégés par une IGP, ils vantent des conditions de production plus transparentes.

Le chef savoyard de 25 ans a remporté mercredi soir l’émission culinaire, dans une finale aux audiences décevantes. Le vainqueur n’a en revanche pas obtenu d’étoile Michelin, nouveauté très contestée de cette saison.

Le journal allemand «Taz» raconte comment plusieurs journalistes et youtubeurs ont retrouvé l’origine de la fameuse image du cuistot moustachu qui pose devant sa broche à viande grillée.

Pas besoin de trop d’ustensiles ou de mille ingrédients pour se rafraîchir le palais. «Libé» a sélectionné quatre recettes.

«Libé» vous révèle ses bonnes adresses marseillaises afin de déguster une cuisine de la mer gourmande, loin des grandes brasseries touristiques.

Avec la canicule, il n’y a pas d’heure pour manger une glace. «Libé» vous donne ses coups de cœur pour cet été et les fortes chaleurs à suivre, à travers la France.

Souvent méconnue ou délaissée en raison de son puissant goût iodé, la figue de mer fait désormais des vagues. Des chefs marseillais entendent faire découvrir au grand public ce mollusque des fonds rocheux, qui a tout du produit identitaire.

Secondé d’un nutritionniste, l’écrivain italien mêle souvenirs intimes et recettes de cuisine héritées de sa famille.

La chaleur fait son grand retour… La règle, elle, reste immuable : il faut s’hydrater. Si l’eau demeure la boisson de référence, la diététicienne-nutritionniste Anissa Boulemia propose quelques alternatives.

L’autrice catalane de «Cuisine ou barbarie», best-seller en Espagne, invite à repenser notre rapport à la cuisine, en renouant avec les traditions populaires, seul moyen selon elle d’éviter une uniformisation des pratiques culinaires.

La galerie parisienne propose une exposition originale autour des objets et aliments de la cuisine, sujet en apparence prosaïque qui a donné lieu à de riches expérimentations.

En quelques années, ces pâtes romaines à base de pecorino romano et de poivre sont devenues l’indispensable des trattorias parisiennes. Mais réussir ce plat en apparence simple nécessite un vrai tour de main et quelques secrets de chefs.

A l’occasion du solstice, on s’assoit autour d’une tablée ensoleillée avec Andrée Zana-Murat et trois recettes conviviales et inratables, extraites de son dernier ouvrage.

Sociologue de l’alimentation, Faustine Régnier a passé quinze ans à s’intéresser à l’alimentation au prisme des classes sociales. Dans «Distinctions alimentaires», elle restitue ses passionnantes découvertes sur les goûts et les normes.

«Libé» est allé planter ses crocs dans un des döners du Master K, sacré meilleur kebab de la ville par le guide Mondial Marseille. Ça vaut le détour.

Alors que le ministre de la Communication algérien a accusé son voisin de «pillage» gastronomique, sur fond de tensions diplomatiques, chercheurs et cuisiniers rappellent que l’origine du plat est difficilement identifiable.

La cheffe étoilée japonaise a appris à cuisiner par dévotion pour son mari décédé.

Dans la campagne vendéenne, tout le monde connaît le vin d’épines préparé à partir des branches d’un prunier sauvage typique des haies bocagères. Une boisson dont chacun dans la région se targue d’avoir la meilleure recette.

Première femme africaine sacrée d’une étoile Michelin en 2023, ­l’ancienne finaliste de «Master Chef» revendique une cuisine franche et élégante, mélange de cultures entre le Bénin et la Provence où elle est installée.

Par Frédéric Faure, vice-président de la Coopérative Biocoop, président du Fonds de dotation de Biocoop.

Par Stéphane Troussel, président du département de la Seine-Saint-Denis, Aïcha Koraïchi, présidente d’Action contre la faim, et Tessa Chaumillon, conseillère départementale en charge du Plan alimentaire territorial.

Dans ce livre de recettes mettant en scène les cuisines d’Algérie, de Tunisie et du Maroc, la journaliste culinaire Farah Keram effectue un voyage intime et un intéressant travail d’anthropologue.

La profession veut faire entendre sa voix ce jeudi 5 juin à l’occasion d’une journée dédiée à leurs établissements, en parallèle de démarches entamées pour faire inscrire leurs pratiques au patrimoine immatériel de l’Unesco.

A l’heure où se rendre au restaurant est devenu un luxe pour bon nombre de Français, des initiatives à prix cassé émergent, accompagnées du discours de restaurateurs expliquant que bien manger ne rime pas avec dépenses exagérées.

Pour tenter de séduire une clientèle au pouvoir d’achat toujours plus contraint, des restaurateurs se mettent à proposer des menus à prix cassés. Les clients sont au rendez-vous, mais le concept ne fait pas l'unanimité dans la profession.

Alors que l’inflation et la hausse des inégalités font d’une sortie au restaurant un luxe, le vainqueur de «Top Chef» 2021 et l’influenceuse cuistot veulent démocratiser la bonne bouffe pour «reprendre le contrôle» sur notre alimentation.

Sur son compte Instagram, la nutritionniste Rebecca Attali propose des idées de plats et desserts ajustés aux besoins physiologiques des femmes.

La coach certifiée en nutrition Anaïs Da Silva propose d’adapter son alimentation pour soulager les douleurs liées aux menstruations. Lors de la phase lutéale du cycle,elle recommande la consommation de lentilles, riches en fer et protéines

Défendus par des nutritionnistes et populaires sur les réseaux sociaux, des mets et des recettes adaptées aux carences et symptômes engendrés par les variations hormonales permettent à des femmes de mieux vivre leurs cycles.

Les tests récents conduits par le magazine «60 millions de consommateurs» sur 40 références d’herbes de Provence, poivres, curry et cannelle vendus en rayon montrent la présence peu ragoûtante de composés organiques et chimiques.

Trois jeunes entreprises françaises spécialisées annoncent une nouvelle génération de fromages, de crèmes ou de yaourts fabriqués sans lait. Une technologie qui se révèle bien plus avancée que celle, très médiatisée, de la viande cultivée.

Au Genopole d’Evry, dans l’Essonne, deux nouvelles infrastructures permettent aux entreprises spécialisées en foodtech d’élaborer leurs produits et de se mettre en selle. Visite gastronomique et biotechnologique.

La version coréenne de la saucisse plantée sur un bâtonnet et enfermée dans une pâte entre la brioche et le beignet essaime tranquillement dans la capitale, boostée par les réseaux sociaux et Netflix.

Avec sa performance «Freekeh», présentée à l’occasion du festival Confit, la dramaturge libanaise ravive la mémoire de sa tante décédée et invite les spectateurs à partager sa mélancolie autour d’une même tablée.