Dès les premières scènes d’Une bataille après l’autre de Paul Thomas Anderson, sorti au cinéma mercredi 24 septembre en France, un élément notable happe la curiosité : à quoi fait référence le nom des «French 75», ce groupe d’activistes révolutionnaires de gauche déjanté, scandant en espagnol «Viva la revolución», dans une Amérique violente et polarisée, dirigée par une administration qui fait drôlement penser à celle de Trump ?
Avant toute chose, précisons que le patronyme n’apparaît pas dans le livre Vineland de Thomas Pynchon duquel est adapté le dernier long métrage du réalisateur américain. I