Cuisine punk
Abats le beau, vive le bon !
Article réservé aux abonnés
Face à l’hyper esthétisation culinaire et l’affluence de plats répondant à des codes de cuisine «design», de jeunes chef·fe·s revendiquent leur amour des plats simples, paysans et économiques. Un contre-pied où cervelles et tripes retrouvent leurs lettres de noblesse.