Vous salivez devant ce pastis dépoussiéré par ces fleurs de Garrigue cueillies au printemps sur les collines de Provence ou vous damneriez pour ce panettone artisanal réconfortant au creux de l’hiver ? Vous soupirez à l’idée de ce sandwich croqué dans un parc parisien sous un soleil estival mais frisquet ou rêvez de cette récolte d’œufs d’escargots, petites perles blanches craquantes rappelant votre automne ? Joie, «Libé» retrace pour vous ses pérégrinations food de 2023. En attendant celles de 2024. Bonne année !

Né en 1915 en réaction à l’interdiction de l’absinthe, le pastis, longtemps immuable tant au niveau du goût que de sa fabrication, se réinvente à la faveur d’une nouvelle scène artisanale, à l’image de la distillerie autonome Garagaï, à Puyloubier, près d’Aix-en-Provence.

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Avec l’arrivée des beaux jours, familles, startupers et promeneurs profitent des parcs parisiens pour une pause déjeuner estivale. Pour «Libération», Thaddé Comar avait photographié certains d’entre eux.–

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A Râches, Michael Collins possède une ferme artisanale où il élève chaque année près de 400 000 bêtes rampantes. Cibles de nombreuses idées reçues, ces animaux, destinés aux tables festives, requièrent un savoir-faire exceptionnel.

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Tradition des fêtes de fin d’année transalpines, la brioche aux fruits confits et raisins panettone a évolué depuis sa création au XVe siècle, dans la région de Milan, et a vu sa diffusion exploser dans le monde entier ces dernières années.

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