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Gourmandises

Lindt, Cluizel, Fortwenger : que valent les nouvelles versions du «chocolat de Dubaï», que les consommateurs s’arrachent pour Pâques ?

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Pâquesdossier
A l’approche du week-end pascal, plusieurs grandes enseignes proposent leur version du chocolat fourré à la pistache qu’on croyait réservé aux touristes et habitants de l’émirat. De quoi aller vérifier le goût et la composition de ces produits qui disparaissent très vite des rayons.
Le lapin au parfum chocolat Dubaï, commercialisé depuis quelques semaines par la marque alsacienne Fortwenger. (Fortwenger )
publié le 18 avril 2025 à 12h23

Une chasse au trésor géante. Depuis qu’une entrepreneuse anglo-égyptienne, Sarah Hamouda, a eu envie d’une tablette de chocolat fourrée à la pâte de pistache croquante pendant sa grossesse, qu’elle a finalement concoctée et commercialisée, le marché du chocolat s’en trouve tout bousculé. Initialement nommé «Cant get knafeh of it» («on ne peut pas s’en passer»), le produit a vite été rebaptisé «chocolat de Dubaï» sur les réseaux sociaux, où les dégustations sont devenues virales. Notamment en raison de l’intérieur étonnant de la tablette, vert flashy avec des nouilles kadaïf, ou «cheveux d’ange». Mais on n’en connaît pas la composition, ni la liste des ingrédients exacte, faute d’emballages à portée de mains.

Et comme aucune appellation ne semble avoir été déposée par la créatrice de la marque Fix Dessert, à l’approche de Noël, Lindt en a profité pour mettre en vente sa tablette de chocolat «style Dubaï», en édition limitée. Nouveau stock pour Pâques. La marque suisse n’est pas la seule sur le marché à en avoir commercialisé : le chocolatier familial haut de gamme Cluizel, Fortwenger et même l’enseigne de fast-déco danoise Sostrene Grene s’y sont