Qui a emprunté un bout des 215 000 kilomètres de sentiers pédestres hexagonaux ces dernières années ne sera pas étonné. Entre les doigts des randonneurs, toujours plus nombreux depuis la pandémie – y compris en haute montagne non sans poser quelques problèmes de surfréquentation –, les cartes IGN Top 25 (à l’échelle 1 : 250 000) et autres topoguides ont peu à peu laissé leur place de choix aux applications sur smartphones. Elles sont aujourd’hui une bonne dizaine, en partie gratuites voire participatives, et proposent des itinéraires avec une localisation GPS ainsi que des cartes téléchargeables. Mais chacune a ses singularités. Parmi les plus usitées : VisoRando, la plus francophone, lancée en 2014 avec plus de 2 millions d’utilisateurs, l’Américaine AllTrails, plus internationale, qui a conquis 25 millions d’usagers en dix ans, ou l’Allemande Komoot, qui s’appuie sur la cartogra
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Applications, GPS, montres… Les randonneurs toujours plus connectés à la nature
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La Fédération française de randonnée prévoit de lancer sa propre appli de navigation, MaRando, en octobre. (PSK Media/Getty Images)
par Florian Bardou
publié le 29 septembre 2022 à 17h38
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