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Vie numérique

Quitter ou ne pas quitter les réseaux sociaux, telle est la question

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Témoignages - La tech et nousdossier
Les dérives politiques et algorithmiques récentes de certaines plateformes ont donné à certains utilisateurs des raisons légitimes de les quitter. De là à ce que la masse des inscrits sautent le pas ?
(Photomontage Libération/Getty Images)
publié le 25 février 2025 à 8h04

Quitter X (ex-Twitter) ou rester en résistant ? Depuis le rachat de la plateforme par le brotech milliardaire Elon Musk il y a plus de deux ans, la question – en fait, déjà ancienne – a pris progressivement de l’ampleur pour de nombreux inscrits de la plateforme en profond désaccord politique. Et pour cause : X est devenu un énième territoire de la fachosphère aux contenus nauséabonds et autres délires complotistes, sans aucun intérêt. Le mouvement de départ (ou de transhumance numérique vers d’autres réseaux sociaux, à l’instar de Bluesky ou Mastodon) a connu son acmé fin janvier, à l’occasion de la cérémonie d’investiture du Donald Trump, notamment avec l’initiative HelloQuitteX du mathématicien David Chavalarias.

Mais, pour les plus soucieux de cohérence idéologique, le dilemme s’est aussi accentué au sujet d’autres médias