Pour les personnes LGBT+ qui en ont la possibilité, sortir du placard reste souvent une étape fondamentale. A l’occasion du mois des fiertés, voici quelques pistes à destination de leurs proches afin qu’un coming out se passe pour le mieux.

Alors que des élections législatives se profilent, «Libé» s’est interrogé sur l’impact des désaccords politiques sur les liens d’amour – romantiques, amicaux ou familiaux. Peut-on s’aimer sans déposer le même bulletin dans l'urne ?

Maous costaud, l’utérus fait l’objet d’un best-seller palpitant écrit comme un polar. Quels sont les secrets de cet organe méconnu ? Pourquoi bouge-t-il en permanence, secoué de frissons mystérieux ?

Chaque sortie du placard est une expérience à part, tantôt vécue comme une épreuve ou une libération. Aujourd'hui, Benjamin, 38 ans, chef cuisinier à Lyon.

Chaque sortie du placard est une expérience à part, tantôt vécue comme une épreuve ou une libération. Aujourd'hui, Tom, 26 ans, ingénieur à Paris.

Chaque sortie du placard est une expérience à part, tantôt vécue comme une épreuve ou une libération. Aujourd'hui, Pauline, 32 ans, comédienne à Marseille.

Comme pour les applications aujourd’hui, les rencontres par le biais d’annonces au début du XIXe siècle étaient accusées de favoriser les rencontres artificelles, explique Claire-Lise Gaillard, spécialiste de l’histoire des intimités.

De la lettre ouverte sur Instagram à la présentation orale dans un podcast, des célibataires lassés par le marché des applications de rencontres tentent de repenser leur découverte de l’autre de façon plus sincère et authentique.

Chaque sortie du placard est une expérience à part, tantôt vécue comme une épreuve ou une libération. Dans le deuxième épisode de notre série, Gautier, 39 ans, infographiste près de Metz.

Chaque sortie du placard est une expérience à part, tantôt vécue comme une épreuve ou une libération. Dans le premier épisode de notre série, Johanna, 22 ans, en recherche d’emploi à Rouen.

En couple ou célibataires, asexuels, abstinents par choix ou contraints, ils ou elles racontent leur quotidien sans sexe, désir ou attirance sexuelle. Dans le septième épisode de notre série : le témoignage de Rose (1), 23 ans, tatoueuse.

Les unions heureuses et sans incident sont légion. Mais certaines noces, où tout part à vau-l’eau, restent aussi gravées dans les mémoires. Pour «Libé», ils ou elles narrent ces festivités folles ou catastrophiques.

Les unions heureuses et sans incident sont légion. Mais certaines noces, où tout part à vau-l’eau, restent aussi gravées dans les mémoires. Pour «Libé», ils ou elles narrent ces festivités folles ou catastrophiques.

Les unions heureuses et sans incident sont légion. Mais certaines noces, où tout part à vau-l’eau, restent aussi gravées dans les mémoires. Pour «Libé», ils ou elles narrent ces festivités folles ou catastrophiques.

En couple, souvent devenus parents, ils se sont rencontrés grâce au programme européen d’études à l’étranger. Dans cet épisode, un Français de 36 ans et une Allemande de 38 ans, réunis il y a quinze ans par un cours de salsa à Madrid.

Les unions heureuses et sans incident sont légion. Mais certaines noces, où tout part à vau-l’eau, restent aussi gravées dans les mémoires. Pour «Libé», ils ou elles narrent ces festivités folles ou catastrophiques.

Les unions heureuses et sans incident sont légion. Mais certaines noces, où tout part à vau-l’eau, restent aussi gravées dans les mémoires. Pour «Libé», ils ou elles narrent ces festivités folles ou catastrophiques.

Les unions heureuses et sans incident sont légion. Mais certaines noces, où tout part à vau-l’eau, restent aussi gravées dans les mémoires. Pour «Libé», ils ou elles narrent ces festivités folles ou catastrophiques.

Dans les années 60, Coccinelle devient une star mondiale : c’est la première personnalité publique française à changer officiellement de genre puis d’état civil. Une BD lui est consacrée, relue et préfacée par son dernier mari.

En couple, souvent devenus parents, ils se sont rencontrés grâce au programme européen d’études à l’étranger. Dans cet épisode, la Grecque Ourania, le Sicilien Gaetano, qu’elle a rencontré sur l’île en 2002, et leurs deux enfants.

En couple, souvent devenus parents, ils se sont rencontrés grâce au programme européen d’études à l’étranger. Dans cet épisode, une Franco-Danoise de 28 ans et un Greco-Libanais de 32 ans, dont les chemins se sont croisés à Copenhague.

En couple, souvent devenus parents, ils se sont rencontrés grâce au programme européen d’études à l’étranger. Dans cet épisode, une Française et une Italienne de 42 ans qui se sont rencontrées à Amsterdam, mères de trois bébés Thalys.

En couple, souvent devenus parents, ils se sont rencontrés grâce au programme européen d’études à l’étranger. Dans cet épisode, une Française de 42 ans, mariée à un Danois rencontré il y a vingt ans et avec qui elle a deux enfants.

En couple, souvent devenus parents, ils se sont rencontrés grâce au programme européen d’études à l’étranger. Dans cet épisode, une Française et un Espagnol qui se sont connus en Suède, parents de deux «enfants Erasmus» près de Paris.

En couple, souvent devenus parents, ils se sont rencontrés grâce au programme européen d’études à l’étranger. Dans cet épisode, une Française de 40 ans et un Italien de 42 ans, réunis par un club de randonnée irlandais en 2003.

Tinder, Bumble, Badoo… nombreuses sont les applications de rencontre qui offrent la possibilité d’augmenter sa visibilité à l’aide de «boosts» payants. Le spécialiste Bouke de Vries dénonce un marché de dupe.

Les salariés d’une entreprise chinoise pourront poser ces congés sans avoir à se justifier. L’initiative est inédite, surtout dans un pays encore peu sensible aux questions de santé mentale et de bien-être au travail.

Lassés des applications de rencontre après les avoir largement écumées, ils ou elles ont décidé de les désinstaller voire de s’en passer pour s’en remettre au «hasard». Aujourd'hui, Jeanne, étudiante parisienne de 23 ans.

Pour «Libé», des trouples racontent le quotidien en dehors des carcans de la monogamie. Dans notre cinquième épisode, Damien (1), 33 ans, journaliste en trouple avec deux hommes depuis trois ans à Bruxelles.

Contrairement aux idées reçues, c’est le corps masculin qui fit l’objet d’une mise à nu dans l’art occidental. «Tomber des nu(e)s», une exposition à Paris invite le public à revoir ses croyances : le «beau sexe» n'est pas celui qu'on croit.

Volonté de rendre hommage à un parent, de couper avec un autre ou avec son passé, certaines personnes décident de changer de nom. Dans le sixième épisode de notre série, Melissa, 28 ans, assistante de direction.

En atelier de groupe comme dans les sex-shops, les jeux d’impact semblent être de plus en plus plébiscités. Un public plus large garde la symbolique de cette pratique issue du BDSM, en remettant en question la centralité de la douleur.

Bordels clinquants, clubs crapuleux… De leurs séjours au Japon, Jérôme Schmidt et Yann Stofer ont rapporté une moisson d’images troubles. Elles font l’objet d’un livre et sont exposées à l’espace d’art HumuS de Lausanne.

Parce que l’argot homo ne cesse de se réinventer, voici un glossaire des sous-communautés gays contemporaines, le plus souvent construites autour de critères physiques et d’affinités sexuelles stéréotypées.

La communauté bear française fête les vingt-cinq ans de sa première tanière parisienne, à la lisière du Marais. Retour sur l’émergence de cette identité gay qui revendique haut et fort ses poils et ses formes.

Pour «Libé», des bears francophones clament leur fierté d’appartenir à cette communauté homo body-positive. Dans notre cinquième épisode, Julian, 21 ans, en reconversion professionnelle à Cannes.

Pour «Libé», des bears clament leur fierté d’appartenir à cette communauté qui revendique ses poils et ses formes. Dans notre quatrième épisode, Willy, 28 ans, cadre d’une start-up à Paris.

Pour «Libé», des bears clament leur fierté d’appartenir à cette communauté qui revendique ses poils et ses formes. Dans notre troisième épisode, Fred, 35 ans, communicant à Saint-Denis.

Pour «Libé», des bears clament leur fierté d’appartenir à cette communauté qui revendique ses poils et ses formes. Dans notre deuxième épisode, Sébastien, 46 ans, salarié d’une imprimerie à Toulouse.

Pour «Libé», des bears clament leur fierté d’appartenir à cette communauté qui revendique ses poils et ses formes. Dans notre premier épisode, Thomas, 52 ans, ancien responsable de magasin, en reconversion à Paris.