Qu’il surgisse tôt ou tard, l’orgasme féminin est un phénomène mythifié. De la déconstruction des idées reçues aux expériences les plus dingues, «Libé» se penche sur le baptême orgasmique.

Pourquoi abandonne-t-on les applis de rencontres? Posez vos questions à Aurore Malet-Karas, sexothérapeute, Melissa Amneris, créatrice de contenus, et Florian Bardou, journaliste à «Libération» à partir de 19 heures sur Twitch.

L’application de rencontre gay est poursuivi en justice au Royaume-Uni pour avoir vendu les données personnelles de ses utilisateurs, notamment leur statut VIH, à des annonceurs. L’occasion de prendre définitivement ses distances.

En couple ou célibataires, asexuels, abstinents par choix ou contraints, ils ou elles racontent leur quotidien sans sexe, désir ou attirance sexuelle. Sixième épisode : le témoignage de Margaux (1), 31 ans, artisane en région parisienne.

Selon un sondage YouGov, plus d’un enfant sur deux, encore petit ou devenu adulte, déclare avoir un ami imaginaire. Souvenir intime et nostalgique de notre compagnon de bêtises, d’aventures farfelues et de confidences sincères.

Ils ou elles se sont fait tatouer ou percer pour se réapproprier leur corps ou ne pas oublier un événement marquant de leur vie. Aujourd'hui, Zohra, 28 ans, fait de ses tatouages des archives d’événements douloureux.

Ils ou elles se sont fait tatouer ou percer pour se réapproprier leur corps ou ne pas oublier un événement marquant de leur vie. Dans notre troisième épisode, Gwendoline, 49 ans, plasticienne, voit dans ses tatouages faciaux une protection.

Ils ou elles se sont fait tatouer ou percer pour se réapproprier leur corps ou ne pas oublier un événement marquant et racontent leur sens particulier. Dans notre deuxième épisode, Julien, 46 ans, et sa guiche.

Evoquées depuis fort longtemps par Diderot, d’Alembert ou l’ethnographe John Gregory Bourke, les activités sous le signe de la déjection peuvent trouver aujourd’hui leur expression dans l’intimité du foyer, avec des jouets imitant les excré

Ode à l’objet révolutionnaire qui, créé en 2014 par un couple bavarois, a été adopté par 10 millions de personnes, bénéficiant notamment du bouche-à-oreille.

«Plus de testostérone», «meilleur pouvoir de séduction»... Les arguments utilisés par le mouvement, qui incite sur les réseaux sociaux les hommes à stopper la masturbation, ressemble à ceux de l’inquisition sexuelle des siècles derniers.

La sociologue Solène Brun revient sur les couples français mixtes, qui n’échappent pas aux logiques de domination sociale, et sur leurs enfants qui, de leur prénom à la transmission de la langue, sont «racialement socialisés».

Ils sont trois, s’aiment, parfois se sont quittés, mais ça leur est surtout tombé dessus par hasard. Pour «Libé», des trouples racontent le quotidien en dehors des carcans de la monogamie.

Pour «Libé», des trouples racontent le quotidien en dehors des carcans de la monogamie. Dans notre troisième épisode, Simon, 35 ans, hôtelier, en ménage depuis deux ans avec deux hommes à Paris.

Pour «Libé», des trouples racontent le quotidien en dehors des carcans de la monogamie. Dans notre deuxième épisode, Laurie (1), 32 ans, fonctionnaire à Paris, séparée d’un trouple avec un homme et une femme.

Pour «Libé», des trouples racontent le quotidien en dehors des carcans de la monogamie. Dans notre premier épisode, Jean-Sébastien, 37 ans, ingénieur en trouple depuis dix ans avec deux hommes à Paris.

Au-delà de quelques cas médiatisés, les adeptes de cette conjugalité polyamoureuse se débattent encore avec une reconnaissance légale complexe et des clichés persistants.

Il faut parfois de nombreuses auditions avant de trouver celui ou celle qui pourra figurer à l’affiche d’un X. Pourquoi est-ce si difficile ? Dans «Un pornographe», le réalisateur américain Arch Brown dévoile ses secrets.

Lassés des applications de rencontre après les avoir largement écumées, ils ou elles ont décidé de les désinstaller voire de s’en passer plus ou moins définitivement pour s’en remettre au «hasard». Aujourd'hui, Matthieu, 42 ans.

Dans sa nouvelle téléréalité de dating diffusée ce lundi, une jeune femme rencontre des prétendants pour trouver l’amour… Sauf que des manipulateurs se cachent parmi eux. Une énième preuve que le sexisme continue de gangréner ces émissions.

Lassés des applications de rencontre après les avoir largement écumées, ils ou elles ont décidé de les désinstaller voire de s’en passer plus ou moins définitivement pour s’en remettre au «hasard». Pour «Libé», ils ou elles racontent.

Lassés des applications de rencontre après les avoir largement écumées, ils ou elles ont décidé de les désinstaller voire de s’en passer plus ou moins définitivement pour s’en remettre au «hasard».

Tenues en location, fleurs de saison, produits locaux et covoiturage… Pour aiguiller les futurs mariés qui souhaitent convoler tout en respectant l’environnement, l’Agence de la transition écologique donne quelques conseils faciles.

Lassés des applications de rencontre après les avoir largement écumées, ils ou elles ont décidé de les désinstaller voire de s’en passer plus ou moins définitivement. Pour «Libé», ils ou elles racontent le pourquoi de leur désaffection.

Née dans les cours d’école, l’expression engage bien plus qu’un changement de vocabulaire, mais plutôt d’une attitude. Dans un ouvrage, la sociologue Christine Détrez dissèque ce phénomène avec empathie.

Premier verre offert, jeux pour briser la glace, hétéronormativité et homophobie… Pour échapper aux applis de rencontre, «Libé» a joué le rôle de cobaye du dating moderne.

Lassés des applications de rencontre, ils ou elles ont décidé de les désinstaller voire de s’en passer plus ou moins définitivement pour s’en remettre au «hasard». Dans notre premier épisode, Astrid, 32 ans.

Propriétaire de dizaines d’applis et de sites de rencontre, le groupe américain est en situation de quasi-monopole. Il est de plus en plus critiqué pour sa gestion des données personnelles et pour ses fonctionnalités «addictives».

Par lassitude, insatisfaction ou volonté de retrouver du temps pour soi, certains adeptes de Tinder et consorts décident de s’en retirer plus ou moins provisoirement. En ligne de mire :donner une plus grande place au hasard.

Qu’il surgisse tôt ou tard, l’orgasme féminin est un phénomène mythifié. De la déconstruction des idées reçues aux expériences les plus dingues, «Libé» se penche sur le baptême orgasmique.

Principal promoteur des «bod mod» au Japon, le journaliste Keroppy Maeda est devenu une star. Ses reportages sur les suspensions aux crocs de boucher ou sur les tatouages extrêmes battent des records d’audience.

Depuis la fin de la pandémie, l’usage de la bise, annoncé en voie de disparition, a pourtant repris son cours. Mais certains irréductibles résistent encore aux embrasseurs, invoquant des raisons sanitaires et intimes.

Des hommes racontent leurs changements physiques, intellectuels et sexuels à «Libé» au tournant de la soixantaine. Troisième épisode de notre série, Didier, 63 ans, libraire retraité, qui vit à Marseille.

Des hommes racontent leurs changements physiques, intellectuels et sexuels à «Libé» au tournant de la soixantaine. Deuxième épisode de notre série, Jean, 67 ans, plasticien, qui vit à Paris.

Ils n’avaient jamais entendu parler d’andropause avant d’être interviewés, cette sorte de ménopause des hommes. Ils racontent leurs changements physiques, intellectuels et sexuels à «Libé» au tournant de la soixantaine.

Ce déficit de testostérone, qui touche une partie de la population masculine vieillissante, reste mal diagnostiqué et soigné. L’autrice Elise Thiébaut et l’urologue Vincent Hupertan croisent leurs points de vue sur cette période méconnue.

Surnommé «cinéma SSS» (soleil, sexe, souvlaki), le soft-porn grec flirte avec la réclame pour agence de voyage. Le dernier numéro de la revue «l’Insatiable» explore les dessous d’une industrie schizophrénique.

Pionnière du porno féministe, la réalisatrice et productrice suédoise défend des créations hors des sentiers hétéronormés. Elle revient sur son parcours et la place du porno éthique face aux productions mainstream.

Les «cafés poly» accueillent curieux et pratiquants de polyamour dans toute la France. Pour le socio-anthropologue Pierre-Yves Wauthier, le phénomène reflète une remise en cause du couple.

Qu’il surgisse tôt ou tard, l’orgasme féminin est un phénomène mythifié. Certaines le vivent seules, à deux ou à plusieurs ; y voient une contrainte, un impératif ou une quête effrénée. Aujourd'hui, Coralie (1), 28 ans, chercheuse à Brest.