Le streamer, musicien, tatoueur et spécialiste des crimes pervers au Japon vient de publier les mémoires d’un violeur-tueur en série, Shiraishi, auteur de nombreux féminicides.

Ils ou elles ont vécu une relation qui, au-delà de la rupture, reste un souvenir heureux. Dans cet épisode, Anne (1), 38 ans, se remémore sa relation «magique» avec celui qui est aujourd’hui l’un de ses meilleurs amis.

Inventrice de l’art «pénétrable», l’artiste française sort de l’ombre à la faveur d’une rétrospective, inédite en Europe. L’occasion de découvrir ses meubles en forme de femmes nues.

Face aux dangers d’une pratique addictive, certains homos adeptes des relations à plusieurs plébiscitent des espaces où la consommation de produits de synthèse est strictement prohibée. Reportage au SecteurX, un sex-club parisien.

Abstinence temporaire, reconnexion à soi et aux autres, groupes de parole… Des gays passés par le «chemsex» et des professionnels de santé donnent quelques pistes pour retrouver un plaisir sexuel tout en se passant des produits de synthèse.

Le terme, emprunté à l’argot ivoirien, pullule sur les plateformes où de jeunes internautes font part de leurs déceptions amoureuses sans complexe. Et s’autorisent à les vivre comme un vrai deuil.

Le photographe dévoile l’Amérique «interdite» des années 1970. Publié aux éditions Timeless, son ouvrage replonge dans les coulisses d’un tournage, celui du film «Hardcore» réalisé par Paul Schrader.

Racheté par Capfun en juin, le plus important camping naturiste d’Ile-de-France risque de redevenir «textile» au 1er janvier prochain. Ses résidents, pour certains depuis cinq décennies, se mobilisent.

La photographe de 28 ans saisit avec douceur la connexion érotique des amoureux au plus près d’un réel brut.

Dans l’Hexagone et, sans doute ailleurs en Europe, moult fils ou filles d’immigrés ouest-africains portent, comme moi, un nom de famille qui n’est pas le leur sur leurs papiers d’identité.

On le surnomme le «Steve Jobs du sexe». Ex-mécanicien spécialisé dans les voitures de luxe, le Japonais Koichi Matsumoto a imposé ses sex-toys futuristes dans le monde entier. Portrait à l’occasion des 20 ans de sa marque.

Des gays, bis et lesbiennes se remémorent avec tendresse leurs premiers émois romantiques et sexuels envers un personnage de fiction. Dans le cinquième épisode, Joseph confesse son obsession pour l'un des héros de la comédie musicale.

Pour «Libé», des gays, bis et lesbiennes se remémorent avec tendresse leurs premiers émois romantiques et sexuels envers un personnage de fiction. Dans le quatrième épisode, Camelia se souvient de la mécano «badass» de Disney.

Ce samedi 28 juin, la Marche des fiertés, défilé politique et de visibilité de la cause LGBT+, est organisée dans la capitale. Pour poursuivre ses festivités militantes, «Libé» passe en revue les meilleures propositions sans exhaustivité.

Pour «Libé», des gays, bis et lesbiennes se remémorent avec tendresse leurs premiers émois romantiques et sexuels envers un personnage de fiction. Dans le troisième épisode, Stanislas décrypte sa fascination pour le héros super viril.

Pour «Libé», des gays, bis et lesbiennes se remémorent avec tendresse leurs premiers émois romantiques et sexuels envers un personnage de fiction. Dans le deuxième épisode de notre série, Nina décrit son obsession adolescente pour Rose.

Hommage à ces héros de fiction, béguins ou supports à fantasmes, qui ont participé à l’éveil homo très personnel, du fait aussi du trop peu de représentations gays.

Pour «Libé», gays, bis et lesbiennes se remémorent avec tendresse leurs premiers émois romantiques et sexuels envers un personnage de fiction. Premier épisode de notre série.

Masturbation, communication réinventée, nouvelles explorations ou encore libertinage… Ils et elles racontent leur réappropriation de leur sexualité après le diagnostic.

La loi Sren est censée protéger les mineurs de la pornographie. Est-elle efficace ? «Pas du tout», proteste Franck Desbordes. Auteur d’une tribune virulente dans la revue «Strobo», il dénonce l’imposture.

Avez-vous déjà regretté d’avoir invité un ami en vacances, au resto ou chez vous ? Nos témoins, oui, et ils en gardent un cuisant souvenir. Dans notre quatrième épisode, Théo raconte comment un ami a abusé de son hospitalité.

Avez-vous déjà regretté d’avoir invité un ami en vacances, au resto ou chez vous ? Nos témoins, oui, et ils en gardent un cuisant souvenir. Dans le troisième épisode, Soraya regrette d’avoir invité deux copains de squat à une fête huppée.

Avez-vous déjà regretté d’avoir invité un ami en vacances, au resto ou chez vous ? Nos témoins, oui, et ils en gardent un cuisant souvenir. Dans ce premier épisode, Alice raconte comment son compagnon l’a embarrassée devant ses amis.

Selon la spécialiste en sciences de l’information et de la communication Marie-Joseph Bertini, ce discours sexiste, qui pullule sur Internet, est, derrière une façade futile, très pernicieux.

Cette pratique sexiste consistant à évaluer et juger le nombre de partenaires sexuels des femmes met au jour les éternelles dérives des réseaux sociaux, devenus terrain de jeu privilégié des masculinistes.

Défiant les autorités, le site de contenus pour adultes n’a pas mis en place l’identification de ses internautes. Son propriétaire, Stéphane Pacaud, reste un homme secret.

Pour célébrer l’amour comme il se doit, revenons au jour où nous l’avons découvert dans les bras d’une personne qui nous aimait en retour. Dans le sixième épisode, Ingrid 23 ans, raconte son amour éclair avec Nicolas.

Dévoilé ce dimanche 1er juin à l’occasion de la journée mondiale du naturisme par la Fédération française dédiée à la pratique, un sondage indique qu’un quart des Français de 18 à 75 ans, s’est déjà mis nu en dehors de chez soi.

Au lieu d’investir en famille, des trentenaires pouvant moins facilement accéder à la propriété dans les grandes villes se tournent vers l’achat de biens à la campagne. Un moyen de partager les dépenses et de repenser les liens amicaux.

L’auteur Arnaud Poissonnier dénonce dans son ouvrage «Boîtes de conserve» l’inefficacité des applis de rencontre.

Dans «Une histoire renversante de la balançoire», l’historien Javier Moscoso étudie le plaisir de l’oscillation… Un plaisir lié aux rituels transgressifs, dit-il : une femme qui se balance se rapproche d’une sorcière.

Une étude publiée par deux universitaires au mois d’avril met la lumière sur les critères politiques des utilisateurs des applications de rencontre lors d’un swipe.

«Fille de joie» sur la scène LGBTQ +, Pandora, 64 ans, fait partie des plus anciennes Sœurs de la perpétuelle indulgence, «les seules n’ayant pas fait vœu de chasteté».

Toujours largement majoritaire, l’exclusivité dans le couple n’est plus la seule option pour les amoureux qui sont de plus en plus nombreux à faire le choix d’une relation libre. Aujourd'hui, Renaud raconte son choix d'aimer sans posséder.

Toujours largement majoritaire, l’exclusivité dans le couple n’est plus la seule option pour les amoureux qui sont nombreux à faire le choix d’une relation libre. Dans notre quatrième épisode, Marie raconte les difficultés qu'elle traverse.

Toujours largement majoritaire, l’exclusivité dans le couple n’est plus la seule option pour les amoureux qui sont nombreux à faire le choix d’une relation libre. Dans notre troisième épisode, Vincent, 21 ans, se questionne sur ses limites.

Toujours largement majoritaire, l’exclusivité dans le couple n’est plus la seule option pour les amoureux qui sont de plus en plus nombreux à faire le choix d’une relation libre. Dans le premier épisode de notre série, Patrick, 53 ans.

L‘autrice Christelle Murhula et la militante antiraciste Chiguecky Ndengila, toutes deux afroféministes, sondent et analysent les difficultés auxquelles font face les femmes noires en France dans leurs relations avec les hommes.

Ses œuvres érotico-gores l’ont rendu mondialement célèbre. Après avoir cultivé le mystère pendant quinze ans, le graphiste français profite de son exposition «Orgiapocalypse» pour dévoiler sa véritable identité : Olivier Texier.

Fin mars, dans la commune du Val-de-Marne, «Libé» s’est rendu à un atelier de fabrication d’anneaux et de slips chauffants, organisé par l’association Otoko et le collectif Zéro millions, où une vingtaine de participants étaient présents.