A deux, trois, quatre ou même dix, les colocations font carton plein, offrant parfois aux aventureux le meilleur comme le pire des scénarios. Dans notre cinquième épisode, Juliette, 24 ans, nous raconte ses voisins de l’enfer.

Disputes, train bloqué, grosse gastro… Ils ou elles racontent à «Libé» des fêtes qui ne se sont pas passées comme prévu. Dans ce cinquième épisode, Diane raconte cette journée de réveillon où elle a appris le décès d’un proche.

Disputes, train bloqué, grosse gastro… Ils ou elles racontent à «Libé» des fêtes qui ne se sont pas passées comme prévu. Dans ce quatrième épisode, Pauline qui s’est retrouvée face à la violence du compagnon de sa mère.

De nombreux utilisateurs des réseaux sociaux vantent les mérites d’un mariage de convenance entre une femme et un homme gay. Le but : accéder aux avantages, notamment économiques, du régime matrimonial, sans la pression de la séduction.

Disputes, train bloqué, grosse gastro… Ils ou elles racontent à «Libé» des fêtes qui ne se sont pas passées comme prévu. Dans le deuxième épisode de notre série, Marie est effarée par la blackface de son oncle.

Lassées par leurs histoires hétéronormées, de nombreuses femmes se tournent vers le lesbianisme, la pansexualité ou la bisexualité à la fois par amour, dépit, curiosité ou acte politique. Dans ce sixième épisode, Elodie.

A Paris, le Cabaret des merveilles organise régulièrement des speed datings pour jeunes queers, en quête d’amour et d’intégration, loin de la jungle des applis.

Ils ou elles ont vécu une relation qui, au-delà de la rupture, reste un souvenir heureux. Dans notre cinquième épisode, Pauline, 36 ans, revient sur sa relation faite de rires et de câlins avec Mehdi, «un rayon de soleil».

De l’érosion du désir aux passions secrètes ou éphémères, l’écrivaine et la sexologue conversent de nos rapports fluctuants à l’amour, au sexe et aux liens sentimentaux avant le festival «Confidences», organisé par «Libé» ce samedi.

Ils ou elles ont vécu une relation qui, au-delà de la rupture, reste un souvenir heureux. Dans le quatrième épisode, Lélia remercie Sarah de l’avoir aidée à lâcher prise.

Ils ou elles ont vécu une relation qui, au-delà de la rupture, reste un souvenir heureux. Dans notre troisième épisode, Sylvain se remémore une balade parisienne avec celui qu’il considère comme sa plus belle histoire.

lls ou elles ont vécu une relation qui, au-delà de la rupture, reste un souvenir heureux. Dans notre deuxième épisode, Iris raconte comment Lola l’a aidée à se remettre d’une relation toxique.

Ils ou elles ont vécu une relation qui, au-delà de la rupture, reste un souvenir heureux. Dans notre premier épisode, Jeremy raconte comment son ex a façonné son éducation sentimentale, sexuelle et politique.

Dans ces pastiches caustiques, les femmes imitent les comportements sexistes des hommes dans les relations hétérosexuelles. Drôles et acerbes, ces vidéos qui abondent sur les réseaux sociaux témoignent d’un sexisme toujours prégnant.

Pour «Libé», ils ou elles racontent comment le VIH a chamboulé leur vie et leur intimité. Dans le cinquième épisode, Tommy, 30 ans, décrit son chemin de déculpabilisation depuis l’annonce de séropositivité il y a deux ans.

Les ados et les jeunes adultes dopent le secteur de la peluche, qui est alors dite «régressive», ce qui est péjoratif. C’est trop injuste, on a autant besoin (sinon plus) de réconfort que les gosses.

Pour «Libé», ils ou elles racontent comment le VIH a chamboulé leur vie et leur intimité. Dans le quatrième épisode, Sophie, 35 ans, explique en quoi avoir donné naissance à un fils séronégatif est la plus belle de ses victoires.

A deux, trois, quatre ou même dix, les colocations font carton plein, offrant aux aventureux le meilleur comme le pire. Victor, 25 ans, raconte son rêve de vivre avec ses meilleurs potes et le choc de la réalité, bien éloignée.

Pour «Libé», ils ou elles racontent comment le VIH a chamboulé leur vie et leur intimité. Dans le troisième épisode de notre série, Alex, 26 ans souligne combien il s’est libéré d’un poids depuis qu’il parle de sa séropositivité.

Le musée des Arts décoratifs à Paris explore à travers moult biens du quotidien, pièces emblématiques du design contemporain et représentations picturales l’émergence de la notion d’intimité au XVIIIe siècle et ses évolutions.

La travailleuse du sexe Alexia, alias PetiteXSirène, raconte comment elle travaille sur les plateformes comme Cam4 ou Chaturbate, notamment avec le Lush, un sextoy connecté qui donne une illusion de contrôle aux spectateurs.

A deux, trois, quatre ou même dix, les colocations font carton plein, offrant aux aventureux le meilleur comme le pire des scénarios. Céline, 24 ans, s’est lancée dans une cohabitation avec une septuagénaire, devenue sa grande amie.

Yassin Chekkouh, mannequin, coach sportif et créateur de contenus de 33 ans, met en scène son corps athlétique pour montrer qu’on peut être séropo «en vivant sa meilleure vie». Portrait militant.

Comment vit-on sa sexualité quand on a moins de 35 ans et qu’on est séropositif à une époque où les années sida sont censées être loin derrière nous ? Pour «Libé», ils ou elles racontent comment le VIH a chamboulé leur vie et leur intimité.

A deux, trois, quatre ou même dix, les colocations font carton plein, offrant aux aventureux le meilleur comme le pire des scénarios. Sofia, 23 ans, est tombée amoureuse de sa colocataire après deux ans de cohabitation.

Dans leur village du Loiret, la dessinatrice de «Tom-Tom et Nana» avait organisé avec son mari une joyeuse cérémonie d’«enterrement préparatoire» en 1989. Ce mercredi, c’est sa dernière représentation.

Comment vit-on sa sexualité quand on a moins de 35 ans et qu’on est séropositif à une époque où les années sida sont censées être loin derrière nous ? Pour «Libé», ils ou elles racontent comment le VIH a chamboulé leur vie et leur intimité.

A deux, trois, quatre ou même dix, les colocations font carton plein, offrant aux aventureux le meilleur comme le pire des scénarios. Clara raconte l’enfer entre insalubrité du logement et colocataire aux coutumes inhabituelles.

Lassées par leurs histoires hétéronormées, de nombreuses femmes se tournent vers le lesbianisme, la pansexualité ou la bisexualité. Dans notre cinquième épisode, Lucie, 36 ans, s’est découverte bi après un coup de cœur.

Lassées par leurs histoires hétéronormées, de nombreuses femmes se tournent vers le lesbianisme, la pansexualité ou la bisexualité. Dans notre quatrième épisode, Sylvie évoque ses relations avec des hommes avant de vivre son homosexualité.

Lassées par leurs histoires hétéronormées, de nombreuses femmes se tournent vers le lesbianisme, la pansexualité ou la bisexualité. Dans notre troisième épisode, Albane revient sur les rapports de domination dans les couples lesbiens.

Lassées par leurs histoires hétéronormées, de nombreuses femmes se tournent vers le lesbianisme, la pansexualité ou la bisexualité. Dans notre deuxième épisode, Cécile et Cécilia sont tombées amoureuses au travail pour ne plus se quitter.

Le concept du mouvement dont elles se revendiquent est aussi radical que limpide : pas de sexe, pas de relation, pas de mariage et surtout pas de gosse avec un mâle.

Lassées par leurs histoires hétéronormées, de nombreuses femmes se tournent vers le lesbianisme, la pansexualité ou la bisexualité. Dans notre premier épisode, Manon, 32 ans, raconte ce qui l'a poussée vers les femmes.

Chaque 19 novembre, c’est la journée mondiale des toilettes, organisée par les Nations unies. L’occasion d’examiner l’attirance pour l’urine, au prisme des théories «émises» par les savants.

Diffusés sur France Culture le 14 novembre à la suite de l’enquête sur la sexualité des Français par l’Inserm, l’ANRS et Santé publique France, treize nouveaux épisodes des «Pieds sur terre» font entendre une pluralité de voix et de sujets.

Une grande enquête scientifique menée par l’Inserm et l’ANRS auprès de plus de 30 000 Français dresse un état des lieux de leur sexualité en 2023.

Un vêtement vite caché dans la penderie, un emballage jeté en douce… En couple, les cachotteries financières sont monnaie courante : près de 9 personnes sur 10 auraient déjà menti à leur partenaire sur un achat ou son prix.

Les traitements du cancer de la prostate –le plus répandu chez l’homme– peuvent provoquer des troubles sexuels et urinaires. Face à ces effets indésirables, des patients se sentent atteints dans leur identité masculine.

Comme de très nombreux Français, en couple ou non, ils fantasmaient sur le sexe à trois, à quatre ou à bien plus. Et puis, ils ou elles ont, un jour, sauté le pas. Septième épisode de notre série.