Curieux ou convaincus, ils ou elles racontent s’être tournés vers des voyants, énergéticiens ou sorciers pour répondre à leurs questions existentielles. Dans le deuxième épisode, Alice explique avoir couplé lithothérapie et sophrologie.

Curieux ou convaincus, ils ou elles racontent s’être tournés vers des voyants, énergéticiens ou sorciers pour trouver des réponses. Dans le premier épisode, Sophie, décrit comment les révélations d’une voyante se sont réalisées.

Pour apaiser les détenus violents, certaines prisons les immergent dans du rose, censé rendre plus doux. «Sauf que cela ne marche pas», explique le chercheur Kévin Bideaux, qui dénonce l’aspect pervers du procédé.

Ils ont entre 9 et 14 ans et font partie de cette génération prétendument portée sur les écrans, friande de contenus streamés mais aussi plus engagée. Qu’en est-il vraiment ? Dans notre cinquième épisode, Eliott, 12 ans.

Ils ont entre 9 et 14 ans et font partie de cette génération prétendument portée sur les écrans, friande de contenus streamés mais aussi plus engagée. Qu’en est-il vraiment ? Quatrième épisode avec Victoria, 11 ans.

Ils ont entre 9 et 14 ans et font partie de cette génération prétendument portée sur les écrans, friande de contenus streamés mais aussi plus engagée. Qu’en est-il vraiment ? Troisième épisode avec François-Joseph, 13 ans.

Haut-lieu de drague et de sexe homosexuels, les jardins royaux ont été dénudés de leurs arbres à l’hiver 2024. Leurs habitués y voient une manœuvre pour «chasser les pédés». La direction du Louvre, elle, refuse de commenter.

Ils ont entre 9 et 14 ans et font partie de cette génération prétendument portée sur les écrans, friande de contenus streamés mais aussi plus engagée. Qu’en est-il vraiment ? Deuxième épisode, avec Apolline, 12 ans.

Ils ont entre 9 et 14 ans et font partie de cette génération prétendument portée sur les écrans, friande de contenus streamés mais aussi plus engagée. Qu’en est-il vraiment ? Premier épisode avec Roméo, 11 ans.

Encore mal considérée il y a peu, la peine ressentie à la disparition d’un chat, d’un chien ou d’un lapin est mieux en mieux prise en charge. Jusqu’à l’organisation d’obsèques similaires à celles de défunts humains.

«Novembre sans noix» est le nom d’une campagne prônant l’abstinence sexuelle : il s’agit, pendant un mois, de se priver d’éjaculation mais aussi d’écrans, associés au porno. Paradoxalement, la croisade fait rage sur les réseaux sociaux.

Amateurs du genre et chercheurs expliquent en quoi les longs métrages sanguinolents permettent de conjurer ses peurs face à des angoisses du quotidien bien moins maîtrisables.

Une alternative aux pompes funèbres classiques se développe en France : les coopératives. Une démarche écologique, sociale et éthique qui permet aux proches du défunt de se réapproprier un moment souvent difficile à vivre.

Au pays où près de la moitié des 20-24 ans n’ont jamais fait l’amour selon une récente étude, une firme de sextoys commercialise un kit de massage comprenant notamment des pilules destinées à masquer l’odeur corporelle.

Pour les adeptes de libertinage, la culture du consentement est aux antipodes des propos tenus par les hommes accusés d’avoir violé Gisèle Pelicot. Les patrons de club, eux, restent vigilants sur les comportements prédateurs.

Chez le psy, la dernière séance peut être marquante. Triste ou joyeuse, chargée d’indifférence ou de gratitude, elle occupe une place particulière dans le souvenir des patients. Dans ce cinquième épisode, Arthur, 48 ans.

Chez le psy, la dernière séance peut être marquante. Triste ou joyeuse, chargée d’indifférence ou de gratitude, elle occupe une place particulière pour les patients. Dans ce quatrième épisode, Aurélie a connu une fin en demi-teinte.

Chez le psy, la dernière séance peut être marquante, triste ou joyeuse, chargée d’indifférence ou de gratitude. Pour ce troisième épisode, Lionel, 51 ans, s’est fait doubler par son psy au moment de lui dire adieu.

Chez le psy, la dernière séance peut être marquante. Triste ou joyeuse, chargée d’indifférence ou de gratitude, elle occupe une place particulière pour les patients. Dans cet épisode, Florence, 51 ans.

Chez le psy, la dernière séance peut être marquante. Triste ou joyeuse, chargée d’indifférence ou de gratitude, elle occupe une place particulière pour les patients. Dans cet épisode, Christian, 47 ans.

Comme de nombreux Français, en couple ou non, ils fantasmaient sur les plans à trois, à quatre ou à bien plus. Et puis, ils ou elles ont, un jour, sauté le pas. Aujourd'hui, Sarah (1), 32 ans, cadre à Paris.

Le directeur de recherche au CNRS analyse de longue date les liens qui unissent les individus. Pour lui, les sociétés fondées sur des principes d’égalité permettent plus facilement de se faire des amis hors de son cercle social initial.

Dans les années 60-70, le cinéaste a filmé à Los Angeles des amoureux en toute liberté. Son but : montrer qu’on peut être homo dans la joie. Le festival Luff, en Suisse, tire son œuvre de l’oubli.

Bien souvent, les amis qui nous entourent nous ressemblent, que ce soit en termes d’âge, de revenu, ou d’éducation. Cette proximité, qui s’explique politiquement et sociologiquement, peut selon certains chercheurs avoir des effets négatifs.

Dans un essai, le militant et animateur du podcast intersectionnel «Jins» explique comment il est possible de lutter contre les discriminations en s’appuyant sur le Coran lu sous le prisme de l’amour.

Une infographie retraçant l’évolution des modes de rencontre depuis cent ans soutient que les couples américains se rencontreraient désormais majoritairement en ligne. Des chiffres exagérés selon la sociologue Marie Bergström.

Membre d’un «running club», des assos pour courir en groupe de plus en plus populaires dans les grandes villes, notre journaliste a participé à un footing à Paris organisé par une appli de rencontre.

Comme de nombreux Français, en couple ou non, ils fantasmaient sur les plans à trois, à quatre ou à bien plus. Et puis, ils ou elles ont, un jour, sauté le pas.

Inspiré d’un mythe des années 30 sur une prêtresse du «satanisme féminin», un guide liste 40 adresses occultes de la capitale et donne le détail de rites mêlant fantasme de mort et magie sexuelle.

Comme de nombreux Français, en couple ou non, ils fantasmaient sur les plans à trois, à quatre ou à bien plus. Et puis, ils ou elles ont, un jour, sauté le pas. Dans ce troisième épisode, Matthieu se souvient de sa première partouze.

Comme de nombreux Français, ils fantasmaient sur le sexe à trois, à quatre ou à plus. Et puis, ils ou elles ont sauté le pas. Dans le quatrième épisode de notre série, Romain ne se résout pas à rester sur un premier plan à quatre foireux.

Comme de très nombreux Français, en couple ou non, ils fantasmaient sur le sexe à trois, à quatre ou à bien plus. Et puis, ils ou elles ont, un jour, sauté le pas. Aujourd'hui, Nina raconte ses découvertes en soirée privée libertine.

Fantasme le plus communément partagé, quels que soient le genre et l’orientation sexuelle, les relations sexuelles à plusieurs, dont le fameux plan à trois, séduit de nombreux Français et Françaises en quête d’exploration.

Comme de très nombreux Français, en couple ou non, ils fantasmaient sur le sexe à trois, à quatre ou à bien plus. Et puis, ils ou elles ont, un jour, sauté le pas. Aujourd'hui, Joris se remémore l’excitation ludique de son premier plan à 4.

A l’aide de faux profils, les escrocs multiplient les arnaques en ligne. Un livre à paraître en octobre revient sur leurs techniques et surtout leurs motivations : l’argent, la gloire ou la vengeance ?

Racisés, ils nous racontent comment s’expriment, à leur endroit, des représentations racistes dans le cadre du dating. Aujourd'hui, Adam, 25 ans, perçu comme maghrébin, fait part de son traumatisme lors d’un plan à trois.

Racisés, ils nous racontent comment s’expriment, à leur endroit, des représentations racistes dans le cadre du dating. Elise 30 ans, fait part de son épuisement vis-à-vis des stéréotypes avec lesquels elle jongle sur les applis.

Racisés, ils nous racontent comment s’expriment, à leur endroit, des représentations racistes dans le cadre du dating. Dans notre troisième épisode, Uriel·le, 22 ans, drag métis, se souvient d’une invitation à participer à un «raceplay».

Une étude de l’Ined publiée lundi rapporte que les femmes dont le revenu est supérieur à celui de leur conjoint les quittent davantage que celles dont les moyens sont inférieurs ou équivalents. Ciao les mecs ?

Racisés, ils nous racontent comment s’expriment, à leur endroit, des représentations racistes dans le cadre du dating. Dans notre deuxième épisode, Nabil (1), 30 ans, est fatigué d’être enfermé dans le stéréotype du mâle alpha bestial.