Beaucoup de pratiques donnent du plaisir à Aude (1), très branchée BDSM : la soumission, notamment recevoir des ordres sur comment s’habiller ou la position à adopter ; les jeux d’impact avec des fessées ou un martinet ; les gifles ; une légère pression sur le cou pendant la pénétration… Mais voici une jouissance que la trentenaire, prof en région parisienne, n’avait pas anticipée, toute simple : la stimulation des seins.
Un jour, il y a sept ans, son partenaire commence à lui effleurer les tétons, sa bouche sur un sein, la main sur l’autre. Il les mordille, les suce, les pince. «C’était très doux et long. J’ai commencé à sentir une énergie se concentrer sur mon vagin, sans le toucher. Puis c’est monté, monté… Au bout de 8-10 minutes, j’ai joui. Je ne savais même pas que ça pouvait arriver. C’est impressionnant de se dire que mon corps est capable de ça», avoue-t-elle. Depuis, demande-t-elle à ses partenaires de s’attarder sur cette zone ? Aude préfère y voir un heureux hasard. «Chercher à jou