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Trois paires de mains (et parfois bien plus) se baladent sur un entrelacs de corps. On imagine des combinaisons, en veux-tu en voilà. Et beaucoup d’excitation. Le sexe en groupe, quelles que soient les relations originelles entre les partenaires, alimente de nombreux fantasmes, aussi nourris par la littérature érotique, la pop culture ou la pornographie. En revanche, seule une minorité tente l’expérience. Ainsi, selon un sondage Ifop de 2017, 23 % des Français et 10 % des Françaises – mais 29 % des Parisiens et Parisiennes – ont déjà fait un plan à trois, et 15 % de nos concitoyens, mais seulement 3 % des femmes, ont déjà eu un rapport sexuel «avec plus de deux personnes en même temps». Or, comme on ne naît pas partouzeur, il faut bien le devenir. Et cela exige de sauter le pas afin de, pourquoi pas, prendre goût aux infinies possibilités du sexe en groupe. Aujourd’hui, Matthieu (1), 48 ans, garde des souvenirs nuancés de sa première partouze avec des hommes.
«A l’aube d