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On ne naît pas cul nu, on le devient ! Et pour cela, vacancier ou simple baigneur, il a fallu un jour tomber une culotte ou un maillot. Les adeptes du naturisme, des millions à arpenter plages, piscines et campings naturistes chaque été, dans la première destination du naturisme au monde, le remettent depuis rarement – sauf contre indication. A la clé : sentiment de liberté, reconnexion avec la nature ou encore réappropriation du corps. Ils ou elles racontent leur expérience à l’occasion de l’exposition «Paradis naturistes», qui ouvre mercredi 3 juillet au Mucem de Marseille.
«Il y a une dizaine d’années, on passe trois semaines avec deux copains à Berlin. J’ai 29 ans, c’est l’été et un soir, on va au sauna gay où tout le monde est à poil. Berlin est connue pour être un terrain favorable à la nudité, il y a plein de lieux qui l’acceptent. Mes amis ont par ailleurs découvert le naturisme deux ans auparavant. J’ai envie de réitérer et le lendemain on va dans la forêt de Grunewald, pas loin du lac naturiste de Teufelssee, et tout naturel