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On ne naît pas cul nu, on le devient ! Et pour cela, vacancier ou simple baigneur, il a fallu un jour tomber une culotte ou un maillot. Les adeptes du naturisme, des millions à arpenter plages, piscines et campings naturistes chaque été, dans la première destination du naturisme au monde, le remettent depuis rarement – sauf contre indication. A la clé : sentiment de liberté, reconnexion avec la nature et réappropriation du corps, etc. Ils ou elles racontent leur expérience à l’occasion de l’exposition «Paradis naturistes», qui ouvre mercredi 3 juillet au Mucem de Marseille.
«Je suis originaire de La Rochelle. Quand j’étais jeune, mes parents faisaient du naturisme sur une plage près de Royan (Charente-Maritime). Il me semble qu’à 2 ou 3 ans, quand on y allait, je ne mettais pas de maillot. Mais à l’adolescence, je gardais tout, même le haut. L’année de mes 20 ans, je pars en vacances quelques jours avec mon copain de l’époque et je l’emmène sur cette grande plage où je va