Pour ne rater aucun témoignage, aucune histoire, inscrivez-vous à notre nouvelle newsletter «Vécu».
On ne naît pas cul nu, on le devient ! Et pour cela, vacancier ou simple baigneur, il a fallu un jour tomber une culotte ou un maillot. Les adeptes du naturisme, des millions à arpenter plages, piscines et campings naturistes chaque année, dans la première destination du naturisme au monde, le remettent depuis rarement – sauf contre indication. A la clé : sentiment de liberté, reconnexion avec la nature et réappropriation du corps, etc. Ils ou elles racontent leur expérience à l’occasion de l’exposition «Paradis naturistes», qui ouvre ce mardi 2 juillet, au Mucem de Marseille.
«Mes parents sont naturistes. Quand j’étais enfant, je ne comprenais pas qu’on se mette nu à la plage, c’était absurde pour moi. J’avais la flemme de les voir à poil. Et puis, vers 23 ans, je pars vivre à Helsinki pour mes études. En Finlande, la nudité est culturelle, que ce soit au sauna ou à la piscine municipale. On décide d’y aller un jour avec une copine française. Dans les douches, on croise des g