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La multiplicité des relations intimes qui s’offrent à nous a de quoi donner le tournis. Parmi celles-ci, la fameuse histoire d’un soir. Celle qui découle d’une rencontre fortuite et qui, malgré son caractère éphémère, peut marquer. En juin 2024, une étude de l’Ined pointait que 21 % des 18-29 ans avaient connu une histoire d’un soir au cours des douze derniers mois. Mais ils ne sont pas les seuls concernés. Pour Libé, ils ou elles reviennent sur cette soirée mémorable, avec ou sans rapport sexuel, qui tient de l’anecdote farfelue ou reste un agréable souvenir. Aujourd’hui, Eric, 36 ans, entrepreneur et consultant en développement numérique dans le secteur du droit, se souvient d’une après-midi mémorable à Oxford.
«J’ai 20 ans, les mecs, les nanas, je ne sais pas, sexuellement, je ne fais que papillonner. Dans ma classe prépa, à Nantes, il y a un pote, Vivien, avec lequel c’est légèrement plus, jamais jusqu’à la pénétration, disons qu’on se fait quelques papouilles de temps en temps. Je le soupçonne d’être un peu amoureux de moi, parfois il est insis