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A la télévision ou sur les réseaux sociaux, en France ou à l’étranger, les ménages à trois sont de plus en plus visibles. Mais, par-delà les cas médiatiques, cette forme conjugale polyamoureuse reste minoritaire et peine à être reconnue. Des trouples racontent leur quotidien amoureux à Libé.
«Avec Adam (1), avec qui j’étais en couple depuis plusieurs années, ça nous arrivait souvent de faire des rencontres amicales ou sexuelles. Pendant le confinement, à Bruxelles, on a connu Lucas (1) sur une application. On devait se voir un soir, mais un lien s’est créé et il est revenu chez nous plusieurs fois. Il n’avait pas vraiment de lieu où vivre, donc il était souvent chez nous. La relation s’est créée, mais on a mis du temps à appeler ça un trouple. Et puis, lors d’une réunion de famille, on a nommé la chose. On devait expliquer notre histoire à nos parents et c’est ainsi qu’on l’a assumée.
«En fait, c’était une espèce de second coming out. On