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Ma rave party la plus folle : «L’agent de la SNCF n’a jamais vu autant de jeunes réunis avec des looks aussi bizarres»

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Témoignages - Voyages et loisirsdossier
Ils ou elles ont goûté une seule fois ou plus à la teuf libre. Et ne se sont toujours pas remis de leurs émotions. Dans le premier épisode de notre série, Eliott (1), 28 ans, se souvient de sa «chasse au trésor» pour rejoindre une free-party dans les champs de l’ouest parisien le premier été de la pandémie.
Free Party en juin 2013 en région Auvergne-Rhone-Alpes. (Romain Costaseca/Hans Lucas)
publié le 7 avril 2025 à 7h15

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A la veille d’une mobilisation nationale ce samedi 12 avril contre une énième proposition de loi «anti-raves», Libé donne la parole à des teufeurs ou teufeuses, d’une nuit ou de toute la vie, pour raconter le meilleur de la fête libre au sens large loin des clichés. Dans cet épisode, Eliott (1), juriste de 28 ans, se remémore sa première free-party dans une carrière calcaire en région parisienne à l’été 2020.

«On est en juin 2020. J’ai l’habitude de régulièrement sortir en soirées techno avec deux potes. On va pas mal à la Station – Gare des mines [club de la porte d’Aubervilliers, dans le XVIIIe arrondissement, ndlr] ou en warehouse [soirées légales ou semi-légales en entrepôt, ndlr]. On est assez friand de teufs électroniques. Cela un petit moment qu’on n’est pas sorti à cause du confinement. On est donc très content de se retrouver, de faire la fête et