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Ma rave party la plus folle : «Un mec monte sur une enceinte avec ce qui ressemble à une machette»

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Témoignages - Voyages et loisirsdossier
Ils ou elles ont goûté une seule fois ou plus à la teuf libre. Et ne se sont toujours pas remis de leurs émotions. Dans le quatrième épisode de notre série, Stéphanie (1), 53 ans, artiste à Paris, se remémore une rave très hallucinée dans un entrepôt d’Ivry en 1993.
On est en 1993. Ce soir-là, toute une bande de copains avec qui on est tout le temps fourrés, organisent une fête dans un entrepôt désaffecté à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne). (Jean-Christophe Verhaegen/AFP)
publié le 10 avril 2025 à 7h50

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A la veille d’une mobilisation nationale ce samedi 12 avril contre une énième proposition de loi «anti-raves», Libé donne la parole à des teufeurs ou teufeuses, d’une nuit ou de toute la vie, pour raconter le meilleur de la fête libre au sens large loin des clichés. Dans cet épisode, Stéphanie (1), 53 ans, artiste à Paris, relate sa dernière rave sous substance dans un entrepôt de la région parisienne.

«On est en 1993. C’est l’époque où tous les samedis soirs, dans son émission Rave up sur Radio FG, Patrick Rognant donne les infolines, soit les numéros à appeler avec un répondeur qui indique où se tient une rave avec un jeu de piste pas possible pour la rejoindre. Du genre tourner à droite, puis à gauche après le père Noël. Ce soir-là, toute une bande de copains avec qui on est tout le temp