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Remiser vins, bière ou spiritueux au placard après quelques semaines arrosées. C’est le propos d’initiatives à l’instar du «Dry July», pour «juillet sec», cousin australien du «Dry January» ou mois sans alcool, lancé en 2008. Elles permettent en effet d’interroger notre rapport à la (sur) consommation de boissons alcoolisées. Mais pour d’autres, parfois en situation de dépendance, la sobriété est devenue un mode de vie salvateur. Dans cet épisode, Susan, 52 ans, une Irlandaise qui habite Paris depuis plus de vingt-cinq ans, explique comment l’alcool a pris trop d’importance dans sa vie.
«Je bois dans les fêtes depuis que je suis adolescente, comme tout le monde. Il y a parfois des excès, pas tout le temps. J’arrive en France à 25 ans. Je suis Irlandaise et m’installer en France pour le travail, c’est tout une aventure. C’est au moment où ma vie devient plus stable que l’alcool prend de plus en plus de place.
«Je suis dans le milieu de ma quarantaine, je suis mari