«Un seul être vous manque et tout est dépeuplé», la preuve par Rihanna : l’absence de la star-chanteuse-femme d’affaires du Met Gala 2024 (pour cause de grippe, dit-on) en a chagriné plus d’un, au point de susciter sur X (ex-Twitter) un #Rihanna alors que se déroulait l’incontournable raout américain de la mode, lundi 6 mai à New York. Il faut dire que «Riri» a jusqu’ici beaucoup fait pour «le Met» dont elle est une abonnée, avec des tenues qui remplissaient à 2 000 % l’objectif : en mettre plein la vue, pour susciter un maximum de couverture médiatique.

Depuis sa première en 2007, la bête de mode et d’image qu’est Rihanna a procédé crescendo. Débutante plutôt classique en robe longue blanche signée Georges Chakra, garçonne sexy en smoking noir Dolce & Gabbana à manches surgonflées en 2009, femme fatale en fourreau en cuir embossé crocodile de Tom Ford, faussement virginale en crop top et jupe longue drapée de Stella McCartney en 2014, reine des fleurs en robe en pétales par Comme des garçons en 2016, papesse (épatant combo mitre + minijupe par Maison Margiela) en 2018, diva en robe-manteau XXL noire de Balenciaga flanquée de son compagnon A$AP Rocky enroulé dans une sorte de couverture en patchwork en 2021.

Mais c’est en 2015 qu