N’en déplaise aux peine-à-jouir comme dirait l’autre : l’été, Paris reste une fête. C’est aussi ce que cherchent à défendre en chœur l’organisation des Jeux et la mairie de Paris. La ville comptera 26 sites de festivités, dont au moins un par arrondissement, à l’exception du VIIe de Rachida Dati. Ces «clubs», équivalents des fan zones pour les compétitions internationales de football et de rugby, seront ouverts à compter du 26 juillet et jusqu’à la fin des Jeux paralympiques. Mais pour le reste, voici nos recommandations.
Des établissements festifs rhabillés par et pour les JO
Le Rosa Bonheur sur Seine, bar-péniche amarré dans le VIIe arrondissement, accueille, la «pride house», fan zone LGBT officielle dédiée à l’inclusion dans le sport et un DJ set par soir dès 21 heures. En plus d’une soirée karaoké les mercredis et une soirée LGBT+ les dimanches le temps des JO de 18 heures à minuit. L’accès au quai est néanmoins soumis à la présentation d’un pass jeu.
«Tous les Rosa [aux Buttes-Chaumont, à Asnières et dans le bois de Vincennes, ndlr] sont ouverts pour faire la fête comme on le fait habituellement», précise-t-on à Libé. Quant au Cabaret sauvage et à la Folie, établissements festifs que l’on ne prés