Les journalistes Stéphane Jourdain et Guillaume Daudin font l’examen de leur contribution au patriarcat dans un album un poil scolaire mais diablement réjouissant sur le mythe pénible des «nouveaux pères».

L’un part, l’autre reste. Père et mère témoignent de leur vie après le départ des enfants du foyer familial. Dans le troisième épisode de notre série, Coco, 58 ans, graphiste et artiste peintre, a élevé sa fille seule.

L’un part, l’autre reste. Père et mère témoignent de leur vie après le départ des enfants du foyer familial. Dans le deuxième épisode de notre série, Cathy, 56 ans, professeure de Pilates, en plein renouveau.

L’un part, l’autre reste. Père et mère témoignent de leur vie après le départ des enfants du foyer familial. Dans le premier épisode de notre série, Tom, 54 ans, artiste hippie d'Australie, raconte le départ de sa fille et de son fils.

La rentrée rime pour certains avec départ du domicile familial. En quittant l’endroit où ils ont grandi, les jeunes gens perdent leurs repères. Mais les parents sont parfois encore plus démunis.

A trop dévoiler la vie de nos bambins sur Facebook ou Instagram, on risque de devoir donner quelques explications aux adolescents qu’ils finissent par devenir.

Message d’un père aux autres parents : c’est normal d’être stressé mais il faut savoir un peu lâcher prise pour ne pas communiquer ses peurs à ses enfants.

Huit mois après avoir inscrit mon fils de 7 ans à l’application d’apprentissage des langues, nous voici aussi addicts l’un que l’autre, avec du vocabulaire et un peu de charge mentale en plus.

Faire les valises, occuper les enfants, prévoir les repas... Qu’elles soient mère de famille, célibataire ou sans enfant, elles font face, y compris durant les périodes de vacances, à une gestion déséquilibrée des tâches.

Les Jeux, c’est aussi une ribambelle d’activités gratuites proposées aux enfants. «Libération» recense un florilège d’expositions, spectacles et initiations sportives dans la capitale et sa banlieue pour de belles journées en famille.

Législatives, dissolution, racisme... En cette période électorale sens dessus dessous, les jeunes et très jeunes peuvent sentir le caractère inhabituel de la situation. Il faut répondre à leurs questions avec sérieux mais sans dramatiser.

Pour les personnes LGBT+ qui en ont la possibilité, sortir du placard reste souvent une étape fondamentale. A l’occasion du mois des fiertés, voici quelques pistes à destination de leurs proches afin qu’un coming out se passe pour le mieux.

Une étude publiée dans la revue «Computers in Human Behavior» montre que les enfants se tourneraient plus vers la technologie lorsqu’ils demandent une réponse, mais aussi, chez les plus petits, pour partager des secrets ou lier une amitié.

Ces professionnelles proposant un accompagnement non médical durant la grossesse sont une aide précieuse pour les futures mères. Mais l’ordre des sages-femmes s’inquiète de l’absence d’encadrement de cette activité.

Souvenirs tendres ou catastrophiques, chocs culturels, les échanges entre jeunes correspondants européens ne laissent pas indifférents. Dans le cinquième épisode, Mariem (1), 32 ans, est tombée sur une Allemande mutique.

Souvenirs tendres ou catastrophiques, les échanges entre jeunes correspondants ne laissent indifférents ni les parents ni les enfants. Dans le quatrième épisode, Isabelle, 64 ans, se souvient du correspondant qui ne se lavait jamais.

Souvenirs tendres ou catastrophiques, les échanges entre jeunes correspondants européens ne laissent pas indifférents. Dans le troisième épisode, Jasmine (1), 48 ans, se souvient avoir accueilli un·e ado qui a fait son coming out trans.

Souvenirs tendres ou catastrophiques, chocs culturels, les échanges entre correspondants européens ne laissent pas indifférents. Dans le deuxième épisode, Marion (1), 44 ans, se rappelle de sa correspondante très rock'n'roll.

Souvenirs tendres ou catastrophiques, les échanges entre correspondants européens ne laissent indifférents ni les parents ni les enfants. Dans le premier épisode, Claire (1), se remémore d'un correspondant égaré.

Volonté de rendre hommage à un parent, de couper avec un autre ou avec son passé, certaines personnes changent de nom. Dans le quatrième épisode de notre série, Annick, 27 ans, étudiante.

Casques antibruit, bouchons mousse, filtrants ou sur mesure… Le docteur Amine Harichane, ORL pédiatrique attaché à l’hôpital Necker, fait le point sur les possibilités qui existent pour préserver l’audition des enfants.

Volonté de rendre hommage à un parent, de couper avec un autre ou avec son passé, certaines personnes changent de nom. Dans le troisième épisode de notre série, Jean-Michel Aubry Journet, 46 ans, directeur de formation.

Volonté de rendre hommage à un parent, de couper avec un autre ou avec son passé, certaines personnes changent de nom. Dans le deuxième épisode de notre série, Eloïse Nguyen-Van Bajou, journaliste de 44 ans.

Volonté de rendre hommage à un parent, de couper avec un autre ou avec son passé, certaines personnes décident de changer de nom. Dans le premier épisode de notre série, Marina, 26 ans, qui travaille dans le droit à Paris.

Plutôt que de se détourner des contes et de leur morale peu féministe, Jennifer Tamas publie un court texte à destination des ados pour apprendre à les relire autrement.

Les déclarations et décisions des responsables politiques visant à réduire la présence des jeunes dans les rues se sont multipliées ces derniers temps. Il n’est pourtant pas possible de construire une société sur l’exclusion.

L’actualité comme le quotidien des enfants et adolescents sont parfois sources d’inquiétudes. Pour les parents, briser le mur du silence n’est pas toujours aisé. Une pédopsychiatre livre ses conseils.

Même en congés, il n’a qu’un mot à la bouche : «flemme». Il traîne la patte et refuse vos activités culturelles, il a cessé de se laver et disparaît dès qu’il faut se mettre à table… Parents, un seul conseil qui vaille : jetez l’éponge.

Ils sont parents, font fi des écrans ou les intègrent à l’éducation de leurs enfants. Tolérants ou scrupuleux, ils racontent. Aujourd’hui, Laurène, 44 ans, graphiste et mère de deux filles de 5 et 8 ans à Paris.

Impact sur le langage, la motricité, le sommeil… Le temps passé par les plus jeunes sur les écrans inquiète. Alors que le chef de l’Etat a affirmé sa volonté de réguler leur utilisation, à Nice, des initiatives guident les parents.

Ils sont parents, font fi des écrans ou au contraire les intègrent à l’éducation de leurs enfants. Tolérants ou scrupuleux, ils racontent. Aujourd’hui, notre quatrième épisode : Chiara (1), 46 ans, Parisienne et mère de trois enfants.

Tolérants ou intransigeants, ils racontent la façon dont ils gèrent la place de l'écran dans le quotidien de leur progéniture. Aujourd’hui, Romain, 42 ans, documentaliste audiovisuel, père d’une fille de 5 ans et demi, à Dijon.

Comment contrôler le temps d’écran des enfants sans déclencher caprices, tempêtes et comédies ? En imposant un cadre dès la petite enfance. Et si c’est loupé, il n’est jamais trop tard pour se rattraper.

Ils sont parents, font fi des écrans ou au contraire les intègrent à l’éducation de leurs enfants. Tolérants ou scrupuleux, ils racontent. Aujourd’hui, notre deuxième épisode : Nando, 36 ans, coparent d'un garçon de 3 ans et demi à Paris.

Ils sont parents, font fi des écrans ou au contraire les intègrent à l’éducation de leurs enfants. Tolérants ou scrupuleux, ils racontent. Aujourd’hui, Sébastien, 44 ans, père d’une fille de 12 ans et demi et d'un garçon de 10 ans.

Non, les enfants ne sont pas «de pire en pire» comme l’écrivent les médias depuis presque un siècle. Le problème, ce sont les adultes, qui les supportent de moins en moins et doivent apprendre à coexister à leurs côtés.

Les rues, restaurants et transports sont peu accueillants pour les plus jeunes, constamment sommés de ne pas déranger les adultes. Témoignages.

«Libé» donne la parole à ceux qui essaient de jongler entre parentalité et vices plus ou moins assumés. Quatrième épisode de notre série : Simon, père solo d’un garçon de sept ans, rêve que l’on légalise le cannabis.

Célébrer les années de notre progéniture tourne parfois à la débauche d’activités. Et si, derrière l’envie de faire plaisir à notre rejeton, se jouait plutôt notre désir d’être validé par la communauté des parents ?

«Libé» donne la parole à ceux qui essaient de jongler entre parentalité et vices plus ou moins assumés. Troisième épisode de notre série : le témoignage de Jean-Baptiste, 47 ans, père de deux enfants et amateur occasionnel de speed.