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Mon super beau-parent : «C’est une des premières personnes à me faire comprendre qu’il est possible d’être homo»

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Témoignages - Famillesdossier
Etre beaux-parents, voilà une place pas si facile à occuper. Mais ces relations ne sont pas vouées à l’échec. Au contraire. Pour «Libé», ils ou elles dressent le portrait d’un beau-père ou d’une belle-mère marquant, aimant ou qui a compté. Dans le troisième épisode de notre série, Albert (1) se souvient d’une belle-mère non officielle qui l’a aidé à se construire.
«Elle a, avec son côté petit-bourgeois de province tout en venant d’un milieu populaire, une volonté d’expliquer que quelque chose d’heureux est possible.» (Photomontage Libération/Getty Images)
publié le 15 janvier 2025 à 7h28

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Les stéréotypes sur les beaux-parents ont la vie dure. D’un côté, il y aurait de méchantes belles-mères, figure des contes pour enfants et de l’autre, des beaux-pères bien peu intéressés par la progéniture d’une nouvelle compagne. C’est que dans les très nombreuses familles recomposées – 9 % des familles environ selon l’Insee en France –, ces relations, trop peu reconnues, ne sont pas exemptes de difficultés ou de tensions, surtout après un divorce compliqué ou un décès tragique. Mais il y a aussi ces beaux-parents qui occupent la juste place et tissent une relation à part avec leurs beaux-enfants. Dans cet épisode, Albert (1), 55 ans, éditeur à Paris, raconte son admiration pour la compagne non officielle de son père qui a jo