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Mon super beau-parent : «Elle fait en sorte qu’on soit une famille, pas une famille recomposée»

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Témoignages - Famillesdossier
Etre beaux-parents, voilà une place pas si facile à occuper. Mais ces relations ne sont pas vouées à l’échec. Au contraire. Pour «Libé», ils ou elles dressent le portrait d’un beau-père ou d’une belle-mère marquant, aimant ou qui a compté. Dans le cinquième épisode de notre série, Hélène se souvient de l’entrée délicate de sa belle-mère dans sa vie de petite fille.
«Depuis l’adolescence, on partage l’amour de la littérature. On lit beaucoup toutes les deux donc on échange beaucoup.» (Photomontage Libération/Getty Images)
publié le 17 janvier 2025 à 8h04

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Les stéréotypes sur les beaux-parents ont la vie dure. D’un côté, il y aurait de méchantes belles-mères, figure des contes pour enfants et de l’autre, des beaux-pères bien peu intéressés par la progéniture d’une nouvelle compagne. C’est que dans les très nombreuses familles recomposées – 9 % des familles environ selon l’Insee en France –, ces relations, trop peu reconnues, ne sont pas exemptes de difficultés ou de tensions, surtout après un divorce compliqué ou un décès tragique. Mais il y a aussi ces beaux-parents qui occupent la juste place et tissent une relation à part avec leurs beaux-enfants. Dans cet épisode, Hélène, 33 ans, cadre à Paris, narre le juste équilibre mis en place par sa belle-mère dans leur relation avec sa sœur et son (demi) frère.

«Mes parents divorcent quand j’ai 8 ou 9 ans. On passe