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Les stéréotypes sur les beaux-parents ont la vie dure. D’un côté, il y aurait de méchantes belles-mères, figure des contes pour enfants et de l’autre, des beaux-pères bien peu intéressés par la progéniture d’une nouvelle compagne. C’est que dans les très nombreuses familles recomposées – 9 % des familles environ selon l’Insee en France –, ces relations, absolument pas reconnues, ne sont pas exemptes de difficultés ou de tensions, surtout après un divorce compliqué ou un décès tragique. Mais il y a aussi des beaux-parents qui occupent la juste place et tissent une relation à part avec leurs beaux-enfants. Dans cet épisode, Corentin, 23 ans, étudiant en histoire de l’art à Angers, rend hommage à son beau-père doué pour la communication et la transmission.
«En 2006, mes parents divorcent. J’ai 5 ans. Ma mère obtient la garde. Avec ma sœur jumelle, on voit peu mo