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Les stéréotypes sur les beaux-parents ont la vie dure. D’un côté, il y aurait de méchantes belles-mères, figure des contes pour enfants et de l’autre, des beaux-pères bien peu intéressés par la progéniture d’une nouvelle compagne. C’est que dans les très nombreuses familles recomposées – 9 % des familles environ selon l’Insee en France –, ces relations, trop peu reconnues, ne sont pas exemptes de difficultés ou de tensions, surtout après un divorce compliqué ou un décès tragique. Mais il y a aussi ces beaux-parents qui occupent la juste place et tissent une relation à part avec leurs beaux-enfants. Dans cet épisode, Anne-Cécile, 40 ans, community manager à Bourges, évoque un beau-père qui lui a transmis des valeurs d’égalité et de justice dont elle se revendique.
«Depuis novembre, c’est officiel : mon beau-père est mon père adoptif. Les enfants de ma sœur sont donc ses petits-enfants. C’est