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Mon super beau-parent : «Il ne nous fait pas de grandes déclarations d’amour mais il est très présent»

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Témoignages - Famillesdossier
Etre beaux-parents, voilà une place pas si facile à occuper. Mais ces relations ne sont pas vouées à l’échec. Au contraire. Pour «Libé», ils ou elles dressent le portrait d’un beau-père ou d’une belle-mère marquant, aimant ou qui a compté. Dans le deuxième épisode de notre série, Anne-Cécile dit sa fierté d’avoir été adoptée par un beau-père déconstruit avant l’heure.
(Photomontage Libération/Getty Images)
publié le 14 janvier 2025 à 6h14

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Les stéréotypes sur les beaux-parents ont la vie dure. D’un côté, il y aurait de méchantes belles-mères, figure des contes pour enfants et de l’autre, des beaux-pères bien peu intéressés par la progéniture d’une nouvelle compagne. C’est que dans les très nombreuses familles recomposées – 9 % des familles environ selon l’Insee en France –, ces relations, trop peu reconnues, ne sont pas exemptes de difficultés ou de tensions, surtout après un divorce compliqué ou un décès tragique. Mais il y a aussi ces beaux-parents qui occupent la juste place et tissent une relation à part avec leurs beaux-enfants. Dans cet épisode, Anne-Cécile, 40 ans, community manager à Bourges, évoque un beau-père qui lui a transmis des valeurs d’égalité et de justice dont elle se revendique.

«Depuis novembre, c’est officiel : mon beau-père est mon père adoptif. Les enfants de ma sœur sont donc ses petits-enfants. C’est