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Mon super beau-parent : «Pour lui, c’est une évidence, je suis sa fille»

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Témoignages - Famillesdossier
Etre beaux-parents, voilà une place pas si facile à occuper. Mais ces relations ne sont pas vouées à l’échec. Au contraire. Pour «Libé», ils ou elles dressent le portrait d’un beau-père ou d’une belle-mère marquant, aimant ou qui a compté. Dans le quatrième épisode de notre série, Sellia remercie son beau-père qui a fini par l’adopter.
«Il m’apprend à communiquer et ne pas craindre les émotions, qu’on soit un homme ou une femme.» (Getty Images)
publié le 16 janvier 2025 à 7h45

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Les stéréotypes sur les beaux-parents ont la vie dure. D’un côté, il y aurait de méchantes belles-mères, figure des contes pour enfants et de l’autre, des beaux-pères bien peu intéressés par la progéniture d’une nouvelle compagne. C’est que dans les très nombreuses familles recomposées – 9 % des familles environ selon l’Insee en France –, ces relations, trop peu reconnues, ne sont pas exemptes de difficultés ou de tensions, surtout après un divorce compliqué ou un décès tragique. Mais il y a aussi ces beaux-parents qui occupent la juste place et tissent une relation à part avec leurs beaux-enfants. Dans cet épisode, Sellia, 24 ans, en recherche d’emploi à Lanester (Morbihan), retient les valeurs et la facilité d’un dialogue d’un beau-père qui