Tout est parti d’une enquête Ifop publiée le 24 juin et intitulée «L’été 2021 : le summer of love de la génération Covid ?» Illico, les gazettes se sont enflammées, annonçant une course effrénée à la bagatelle de la part des célibataires français en cette période de grandes vacances. Or, ce n’est pas du tout ce que dit l’institut de sondages. Ceux qui naviguent en solo n’ont pas «envie de ken», pour reprendre littéralement l’expression poussive, pour ne pas dire malheureuse, du site Madmoizelle. On lit partout que selon l’Ifop, «les Français seront [bien] plus ouvert sexuellement» (Femina) ou que se déroulera «
Célibat
Parlons sexe, parlons bien : le «summer of love» n’aura pas lieu
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Contrairement à ce qui a été analysé du sondage Ifop publié le 24 juin, les Français ne s'orientent pas vers une sexualité débridée à la sortie de la crise. ( Cha Gonzalez/Libération)
par Katia Dansoko
publié le 9 juillet 2021 à 15h46
(mis à jour le 9 juillet 2021 à 16h43)
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