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Témoignage

Ma pire rando : «J’ai extrêmement mal au ventre, je pousse de toutes mes forces : il ne se passe rien»

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En randonnée, il y a le marcheur qui anticipe le moindre pépin et celui qui part la fleur au fusil. Jusqu’au jour où la catastrophe arrive. Dans le douzième épisode de notre série, Céleste(1) nous raconte comment elle a compris qu’il fallait aller à la selle avant d’entamer un périple de randonnées.
«J’ai tellement attendu avant d’essayer d’aller à la selle, que mon étron a séché. Je suis en train d’essayer de déféquer du bois.» (John David Escobar/Getty Images)
par Jeanne Hatier
publié aujourd'hui à 10h55

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Malgré l’expérience, une randonnée mal préparée peut virer au cauchemar. Des randonneurs, néophytes ou chevronnés, racontent une balade qui a tourné à la catastrophe. Retrouvez nos conseils pour partir bien préparé. Dans cet épisode, Céleste, 24 ans, photographe à Paris, affronte la randonnée au Québec après une semaine sans faire la grosse commission.

«Mon père travaille à la maison, il est scénariste alors il écrit à son bureau, dans le salon. Cela signifie donc que pendant les vacances d’été, il a envie que ça bouge. Cet été-là, en 2017, il m’annonce qu’on part au Canada. A vrai dire je suis super heureuse, je suis fan de Twilight et je me dis que les paysages canadiens vont ressembler à Forks, la ville de Bella Swan.

«Le programme, c’est trois semaines